Depuis longtemps, Anne Penders traîne ses tongs un peu partout dans le monde. En Chine. Aux States. À Marseille. À Bruxelles, mais oui, aussi, parfois. Depuis longtemps, Anne Penders écrit, photographie, filme, prend du son, partout où elle passe, partout où elle laisse traîner ses tongs. Non qu’Anne Penders serait une de ces autrices dites voyageuses, écrivant, de livre en livre, des espèces de journaux de voyages où elle nous narrerait ses états d’âme nomades, ses rencontres splendides, ses déboires ou ses confrontations avec le paysage, la mère nature ou toute autre chose du même acabit. Non. Pas du tout son genre. Anne Penders serait plutôt du style, me semble-t-il, à faire de ses voyages des prétextes. Des occasions de susciter l’écriture, tant littéraire…
Les Villages illusoires, Précédé de Poèmes en prose, Précédé de La trilogie noire (extraits)
Verhaeren, broyeur de syntaxe, forgeur de formules qui marquent, cracheur de mots sonores qui disent l’écartèlement du monde, les massacres intérieurs, les paysages déchirés, les cervelles à la torture. Verhaeren aussi des vents marins, des plaines mornes et des villages où les hommes dans leur métier –meunier, cordier, fossoyeur, forgeron– grandissent aux dimensions du mythe…[embed]https://soundcloud.com/objectifplumes/3-les-villages-illusoires?si=9017754c5eba456c9b57b5d70fc7211b&utm_source=clipboard&utm_medium=text&utm_campaign=social_sharing[/embed]…
Véronique DAINE , Amoureusement la gueule , illustré de six dessins d’Anne Marie Finné, Herbe qui tremble, 2019, 62 p., 13 €, ISBN : 978-2-918220-99-2La collection « D’autre part » de…
Thibaut Creppe n’est pas un inconnu au sein du petit monde de la littérature belge. Né en…