William Rodenbach a deux grandes marottes : draguer et chasser les fautes de français partout où il le peut. C’est d’ailleurs dans le seul et unique but de faire de nouvelles conquêtes qu’il fréquente assidûment la galerie d’art tenue par la très sensuelle Margot Marchal. Et voilà qu’un beau jour, lors d’un vernissage, il tombe sur une créature de rêve, qui porte le beau prénom de Violaine et qui, par le plus merveilleux des hasards, adore les mots peu communs et, en particulier, les mots les plus concupiscents… Une magnifique occasion pour conclure, non ?
Né le 29 avril 1942 à Anvers
Docteur en droit et bachelier en philosophie de l’Université de Louvain
J’essaye de me mettre entièrement au service de l’illustrateur, de répondre à ses goûts et son esthétique. De 1969 à 1976, directeur de collection puis directeur littéraire aux Ed. Marabout. Depuis 1977, activités éditoriales Livre de Poche, Librairie des Champs-Élysées, 10/18, Julliard, Fleuve Noir, etc.… Publications : une cinquantaine d’ouvrages (romans, nouvelles, essais, anthologies) sous son propre nom et une demi-douzaine de romans policiers sous le pseudonyme d’Alexandre Lous. Collabore au magazine Le Vif-l’Express et surtout au Magazine littéraire.
Ce recueil comporte une nouvelle de Réjane Peigny, 'Amina danse', une nouvelle de Francis Dannemark, 'Les pluies passées', et 'Le jour se lève encore', poème à quatre mains commandé par Gil Jouanard pour 'Mille ans après l'an mil', volume collectif publié chez Climats…