Résultats de recherche pour “Jan Baetens” 61 à 74 (74)

La bibliothèque de Villers ; Suivi de Tombeau d’Agatha Christie

Venu à Villers pour y conduire une enquête sur des crimes vieux…

Poésies belges

La plaquette rassemble 12 poètes et poétesses aux styles et thèmes variés ayant publié entre 2000 et 2020. Avec :  Jan Baetens  Aurélien Dony  Rose-Marie François  Zaïneb Hamdi  Jacques Izoard  Maud Joiret …

Petit musée d’histoire littéraire. 1900-1950

Alexandre Vialatte se plaisait à utiliser le terme de « chosier » pour désigner ce rassemblement d’objets…

Les petits dieux

En 2001 et 2002, Sandrine Willems a publié onze romans « miniatures », sous le titre général de « Les petits dieux ». L’idée, intéressante, d’une parution échelonnée…

Onze poèmes pour fêter Ulenspiegel

Créations de 11 poètes contemporains autour du roman de Charles De Coster : Jan Baetens, Alain Dantinne, Rony Demaeseneer, Corinne Hoex, Béatrice…

Le Carnet et les Instants - 1er trimestre 2024 - Le Carnet et les instants n° 218

Sommaire • Du roman à la bande dessinée par Jan Baetens •…

KAAPSHLJMURSLIS

Je ne sais pas s’il est encore nécessaire de présenter Vincent Tholomé. Mais dans le doute, et parce que c’est chouette, le doute, on rappellera ici que le poète est aussi…

La novellisation, une écriture différente du cinéma (2015)

La novellisation, méchant anglicisme dérivé de « novelization », est une pratique éditoriale qui consiste…

L’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique (Arllfb) a remis ses prix littéraires

L’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique (Arllfb)  a remis ses prix littéraires. 8 prix ont été décernés : - le Grand Prix des arts du spectacle - le Grand Prix du roman - le Grand Prix de poésie - le Prix André Gascht de la critique - le Prix de linguistique et de philologie - le Grand de linguistique et de l'essai - le Prix Découverte - le Prix international Nessim Habif Prix récompensant des œuvres littéraires belges francophones Le Grand Prix des arts du spectacle a été décerné à  Florian Pâque  pour  Sisyphes  ( Lansman). Le Grand prix de Poésie récompense Jacques Vandenshrick pour  Tant suivre les fuyards  (Cheyne). Veronika Mabardi  reporte le Grand Prix du roman pour  Sauvage est celui qui se sauve  (Esperluète) et  le Grand prix de l'Essai va à Jan Baetens pour   Illustrer Proust. Histoire d’un défi  (Les Impressions nouvelles, 2022). Enfin,   le Prix Découverte à Vincent Poth pour  Aléas sans amarre. Ou livre de pensées  (aphorismes, inédit, 2022). Autres prix attribués Le Grand prix de Linguistique et de Philologie à Laurent Gosselin pour  Aspect et formes verbales en français  (Classiques Garnier,), et le Prix André Gascht à Pascale Tison pour l’ensemble de son travail de critique. Quant au Prix Nessim Habif, il a récompensé l'autrice franco-iranienne Négar Djavadi pour l'ensemble de son œuvre. Plus d'informations Le palmarès des prix de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique (Arllfb) sur Objectif plumes Le site de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique (Arllfb)…

Un petit sac de cendres. Vers strophes rimes poésies

« Quand j’entends le mot poésie, je sors mon dictionnaire! » Cela pourrait sembler une forme…

Abstraction and Comics. Bande dessinée et abstraction

Qu’en est-il de la bande dessinée dite abstraite ? Quels sont ses ressorts historiques, sémiotiques ou formalistes ? Le très beau coffret de deux volumes, Bande dessinée et abstraction, rassemble des contributions et des créations originales qui explorent la grande variété de l’abstraction en bandes dessinées. L’abstraction doit-elle être comprise dans le sens qu’elle a pris dans l’histoire de l’art, en peinture ? Peut-on dire qu’elle définit un tournant moderniste touchant les arts visuels alors que, ab initio , depuis l’origine de l’art, la tendance à l’abstraction est présente ? Les opérateurs identifiant une BD expérimentant l’abstraction varient en fonction des théoriciens : là où Ibn Al Rabin nomme abstraction le non-figuratif, Andreï Molotiu la resserre autour de l’éviction de la narration. Les créations du collectif WREK avec l’artiste-graveur Olivier Deprez, celles de Pascal Leyder, Frank Vega, Berliac, Francie Shaw, Ilan Manouach et bien d’autres jouent la carte de la tension, du dialogue non mimétique avec les textes. L’irruption de quelques planches abstraites dans une BD ou la construction d’œuvres graphiques entièrement soutenues par l’abstraction modifient le «  régime scopique du spectateur  » (Jacques Dürrenmatt). Si le terme de bande dessinée abstraite se répand dans les années 2000, auparavant, bien des artistes ont construit des œuvres reposant sur des images non figuratives, par exemple géométriques, ou invalidant le dispositif narratif. Au travers des contributions de Jan Baetens, Jean-Charles Andrieu de Levis, Kakob F. Dittmar, Paul Fisher Davies, Jean-Louis Tilleuil, Denis Mellier et d’autres, il appert qu’il n’y a pas une abstraction mais des abstractions. Certains créateurs maintiennent une visée diégétique, un récit tandis que d’autres l’évacuent. De même, certains recourent à la figuration, d’autres la subvertissent. Purification d’une forme qui sonde la seule dimension graphique, le voir, sans plus se diluer dans le raconter, attention exclusive aux qualités plastiques des images, veine underground, autonomiste refusant les codifications et les dogmes de la BD, les circuits de production et de réception, exploration libre, mutante des ressources du médium, interrogation sur la fabrique des images, contestation de l’auctorialité… la bande dessinée abstraite expérimente bien des formes qui secouent l’horizon d’attente de lecteurs habitués à la lisibilité d’un récit (personnages, actions,  péripéties, contexte spatio-temporel…), une lisibilité poussée à ses extrémités avec la ligne claire. Les titres, les textes accompagnant les images restaurent parfois une trame narrative, orientant la réception des lecteurs.Choisir l’abstraction, c’est aussi s’abstraire des comics, accomplir «  un geste de rupture qui cherche à s’abstraire plus ou moins radicalement de l’hégémonie du récit  » (Denis Mellier), opter pour l’a-narrativité, s’affranchir de la «  tutelle du récit  » ou/et rompre avec le champ du figuratif. Qu’elles contestent l’impératif narratif, la représentation figurative ou les deux, les expressions multiples de la bande dessinée abstraite déterritorialisent la sphère du neuvième art, y traçant des lignes de fuite, des dispositifs qui déstratifient le genre. Autrement dit, elles illimitent les possibilités du médium, jouant de tous les registres de la narrativité minimale, de la visée de son degré zéro ou de la métanarrativité comme de ceux du figuratif.«  Ses tendances [de la BD] à l’abstraction sont peut-être constitutives de son discours graphique…

Le Carnet et les Instants - 4e trimestre 2018 - Le Carnet et les instants 200

Sommaire • Ne penser qu’à ça (1993) par Amélie Nothomb • Splendeurs…

Anthropogénie

Auteur d’ouvrages majeurs, Philosophie de la photographie, Histoire photographique de la photographie, Le Nouvel Âge, Henri Van Lier (1921-2009) livre avec Anthropogénie son opus magnum.…