« Un livre est toujours semblable à ce message que le poète enfermait dans un flacon de verre et confiait aux flots.
Je sais que celui-ci atteindra le rivage. »
Charles Plisnier En ornant d’une préface inspirée le roman Les Roseaux noirs, Charles Plisnier ne s’est évidemment pas trompé… Il ne pouvait se fourvoyer dans des propos complaisants tant l’amitié qui le liait à Marie-Thérèse Guillaume, l’auteure du livre et à Roger Bodart le futur époux de celle-ci, était transparente et nourrie de la plus grande franchise. L’ouvrage était décidément à la mesure de ses attentes, même s’il reconnaît : «Ce n’est pas ma conception du roman». Mais le superbe opus qu’il avait à présenter et qu’il associe aux Wutherings Heights, d’Emily Brontë ne peux que remuer le lecteur : « Et je voyais dans Les Roseaux noirs, ce livre étonnant que vous allez lire. On ne peut se tromper à certains coups d’archet. Une composition savante et sévère : une langue souvent fluide,…
Auteur de À propos des Roseaux noirs (dossier Marie-Thérèse Bodart)
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