Résultats de recherche pour “L&” 13411 à 13440 (15468)

Hector Loursat ou l'humanité de Simenon
Maître Hector Loursat de Saint-Marc est sans doute un des personnages les plus connus de Simenon : héros du roman Les Inconnus…

Dès tautes po l’ dicauce do cabinier d’ Falayin ( Visadjes d’èyîr -9 )
Nos l’avin.n´ lomè mi p’tite…

Thierry-Pierre Clément et l’Atelier du Héron. Entretien. (dans Dossier)
Né à Bruxelles en 1954, Thierry-Pierre…

L’usage du faux (3) – La copie
Nicolas Marchal poursuit pour Karoo sa série d’articles intitulée « l’usage du faux », réflexions sur la fiction et ses frontières, ses infinis, ses jeux de miroirs.…

Rose-Marie François (Jemappes, 1939) Poète, philologue, romancière, rhapsode, auteure d'une trentaine de livres – poèmes, récits, romans,…

Une démocratie approximative L’Europe face à ses démons
Plus de soixante ans après le Traité de Rome, peut-on dire que l’Europe…

De l’écrit à la scène. La réécriture dans la dramaturgie belge francophone
1 « Que périssent tous ceux…

Dins l' sov’nance èt al maniére da Henry MATTERNE, po lî rinde bon d'vwêr ― Dispêtchîz-vos, don, Zande , i n' nos faureut nin yèsse taurdus on djoû come audjoûrdu.…

Introduction ( in Dossier L'ULg et sa ville )
Depuis le milieu des années 1990 , partout en Europe, l’université urbaine retrouve des couleurs. Alors qu’au plus fort des…

Espace Nord, le patrimoine littéraire à l’usage de tous
Espace Nord, collection patrimoniale dédiée aux Lettres belges francophones, fête en 2015 ses 32 ans et compte plus…

Jean Muno. La subversion souriante de l’ironie
C’est avec l’ironie pour fil conducteur qu’Isabelle Moreels étudie en profondeur l’œuvre de Jean…

L’écrivain et le politique. Six essais sur Yourcenar
Tanguy DE WILDE D’ESTMAEL (dir.), L’écrivain…

L’autoédition, – un vivier pour les éditeurs ? – Entretien avec Laure Prételat
Difficile de passer…

Club (traduit de l'anglais par A. van Crugten)
Il est enveloppé dans un énorme manteau vert rugueux, un surplus militaire de quelque régime déchu — dans la poche intérieure,…

I n' faut nin crwêre qui l' prumêre oûlote, ç'a stî Èdwîje, l'oûlote da Harry Potter. Non.na, dès oûlotes, gn-aveut d'djà brâmint d'vant lèye. Cètèllale,…

One pasquéye da Djan Biétrumé Picâr : li diâle èt l’ pourcia
[ Adaptation libre d’un extrait du chapitre VI de Victor…

Insérer la fiction dans l’Histoire constitue un des moyens d’explorer un destin individuel dans un lieu et un temps que le romancier…

Eternåcionå : Oucrinne Maigret et l' prezidint Ni codjåzez nén tant li « Fesse-bok ». On trove pacô des scrîts foirt ahessåves, so cisse waibe vola. Come…

So mes nouv ans å Bouroundi C’ est on payis eyou dj’ a dmoré 9 ans di 1971 disk’ al fén d’ 1980. Metou å coron d’ n’ onk l’ ôte, dj’ a dmoré e…

Nicolas Marchal entame pour Karoo une série d’articles intitulée « l’usage du faux », réflexions sur la fiction et ses frontières, ses infinis, ses jeux de miroirs. Premier épisode, où l’on…

Divin Vinci, Léonard de Vinci, L’Ange incarné
À l’occasion du 500ème anniversaire de la mort de Leonardo da Vinci, le philosophe…

La vraie histoire – de John Brown l’abolitionniste
Dans un roman paru en août chez Gallmeister, James McBride décrit, à travers les yeux d’un gamin rescapé, l’histoire du…

Voici un livre à la fois ardu, son écriture porte les traces des cours et des travaux universitaires dont il est issu, et surtout précieux, son ampleur nous donne un bilan argumenté des théories et des pratiques économico-sociales contemporaines.Le titre, La fabrique de l’émancipation , conjoint de façon qui peut sembler étrange deux mots divergents : la matérialité du premier ne s’oppose-t-elle pas à l’idéalité du second ? Et l’action, au sens politique arendtien de la capacité d’initiative, de commencement, de « faire naître » une réforme, une institution, une libération, n’est-elle pas plus ajustée : si l’émancipation est possible n’est-ce pas dans l’action, plurielle et responsable ? Cette apparente opposition négligerait ce que Arendt comme Bruno Frère et Jean-Louis Laville cherchent à éclairer : l’ouverture de l’espace et du temps de la politique dans le langage qui ouvre l’action. Laquelle est façonnée entre autres dans la « fabrication » des théories politiques, mais de façon insuffisante parce que coupée des inventions effectives. Tel apparaît le double but des auteurs, Bruno Frère et Jean-Louis Laville : d’abord, donner la synthèse des « fabrications » fictionnelles (façonnées en langages des sciences et des philosophies sociales, non fictives pour autant), toutes négatives, proposées depuis deux siècles par les théories de l’émancipation ; mais, ensuite, les mettre face aux pratiques auxquelles elles devraient faire droit, à leurs « fabriques » actives d’émancipation, largement positives, dans les mouvements de révoltes et d’organisations sociales, porteuses de ré-institutions démocratiques. Du paradigme négatif au paradigme associatif Les premiers chapitres mènent à bien la critique (saisie des limites) de la critique (dénonciation) des obstacles à l’émancipation sociale. Sont tour à tour convoqués les grands noms de la critique sociale : Adorno, Horkheimer, Habermas, Honneth, Bourdieu, Latour, Boltanski, principalement. Et dans la foulée, avec justesse et précision, non sans nuances, est décelé l’enfermement de cette tradition dans la critique négative du capitalisme. Le paradoxe de cette position vient de ce que, du fait de sa négativité sans issue, elle ne cesse de dénoncer ce qu’elle constitue en indépassable, le marché capitaliste. Et cela, faut-il le préciser, d’autant plus que les tentatives de révolution de type communiste ou même de réformes de type social-démocratique (liées à l’État-Providence) ont montré leur échec total ou leur réussite trop partielle pour résister aux crises économiques et écologiques.Or ce que cette position néglige, c’est une alternative à la domination qui prend racine dans l’associationisme du 19e siècle, celle des coopératives, des mutuelles ou des crèches, car cette tradition est aujourd’hui ravivée dans de multiples innovations sociales porteuses de nouvelles institutions. Sans remettre en cause la pertinence des critiques négatives, la possibilité d’une critique constructive est mise en valeur dans l’autre moitié du livre. Les « épistémologies du Sud » (Boaventura de Sousa Santos, Anibal Quijano…) montrent ainsi que les révoltes populaires sous la bannière du « bien vivre » ou du « care » expérimentent des « expériences de sociabilité non capitaliste ». De l’association à l’Économie Sociale Solidaire Ce qui se fait jour dans ces expériences, des conseils communaux zapatistes du Chiapas à la ZAD de Notre-Dame-des Landes parmi tant d’autres, ce sont autant d’émergences de nouvelles institutions démocratiques, hybrides et diverses parce qu’impures. Exemple privilégié, l’expérience de l’ONG féministe brésilienne, Sempreviva Organizaçao Feminista, « a implanté la politique d’assistance technique à l’agro-écologie du gouvernement fédéral de 2015 à 2017 ainsi que des programmes de coopération internationale » en s’appuyant sur l’auto-organisation des femmes se dégageant du patriarcat.En définitive, via Karl Polanyi qui préconise le « désencastrement » de l’économique et du social et Cornelius Castoriadis qui marque la nécessité de la « praxis » instituante (non sans divergence avec la pensée démocratique de Claude Lefort), Frère et Laville en appellent à un « universel concret » où la macropolitique se nourrit de la micropolitique. En dépit d’une distance notée avec légèreté par rapport à Hannah Arendt et d’un privilège affiché à la « description », c’est bien l’action politique qui se voit remise à l’avant-plan, mais débarrassée des incantations, morales et autres, contre le « système ». Il est d’autant plus étonnant que, au-delà de l’enquête et de l’analyse, rien n’est indiqué au plan politique sur « l’approfondissement de la démocratie » par la « transition » qu’impose la crise sociale-écologique à l’émancipation.Donner droit aux multiples initiatives des luttes, des assemblées et des associations, à l’économie solidaire que pratiquent ces dernières, n’ouvre-t-il pas la voie d’une ré-institution de la démocratie électorale représentative où la démocratie horizontale, bien plus que par une participation consultative, recevra un pouvoir législatif effectif en alternance avec la démocratie verticale en crise [1] ? Il n’empêche : ce livre foisonnant est bel et bien indispensable à la compréhension des transformations de notre monde. Éric Clémens [1] En dialogue avec les auteurs, je me permets de renvoyer à mon essai, Pour un pacte démocratique. L’enjeu d’une double Assemblée, paru aux Presses Universitaires de Louvain,…

Deus bombes petnut a Brussele, les metros rôlnut Mårdi l’ 22 d’ måss . Après awè fwait on gros betch al sitåcion a m’ båshele ki va passer s’ djournêye…

L’usage du faux (2) – Le mensonge
Nicolas Marchal poursuit pour Karoo sa série d’articles intitulée « l’usage du faux », réflexions sur la fiction et ses frontières, ses infinis, ses jeux de…

Le théâtre contemporain au crible de l’analyse politique (Scène)
Théâtre dans la mondialisation : communauté et utopie sur les…

Rotterdam, une fenêtre sur l’avenir des Pays-Bas
Lorsqu’on évoque la ville de Rotterdam, on pense spontanément à un port d’importance mondiale…

L’anarchie, théories et pratiques libertaires
Une belle surprise du côté de la collection « La petite bédéthèque des savoirs » (aux éditions…
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