Résultats de recherche pour “Jean-Baptiste Baronian” 121 à 150 (151)

L’ornement des mois

Genre : Roman Éditeur : ARLLFB Format : 14 X 19, 5 cm Nombre de pages : 192 p. Date de publication : novembre 2021 ISBN : 9782803200610 Prix : 20,00 €…

Littérature et cinéma

Cet ouvrage rassemble les actes du colloque «Littérature et Cinéma», organisé par l’Académie royale de langue et de littérature françaises le samedi 15 octobre 2022. Ce colloque a réuni Pierre…

Du fantastique à ses subversions dans la littérature belge francophone

Si le terme «  fantastiqueur  » a été forgé par Théophile Gautier en pleine apogée…

Œuvres choisies

"Chez Sternberg, pas besoin de fantômes, pas besoin de morts-vivants pour faire surgir le tumulte effervescent de la dérision quotidienne. Comme chez Kafka, l'épouvante siège…

Médua

À quand une monographie complète consacrée à Maurice Carême (1899-1978), qui le dégagerait de cette image de simple poète (ou de poète simple) qu’auront psalmodiée, par cœur quand ce n’est…

Contes de la mer du Nord

Relire Gérard Prévot est toujours un moment riche. Et l’on se dit que c’est une réelle injustice qu’il n’ait jamais été apprécié à sa juste valeur.…

Une petite histoire du roman policier belge

Christian LIBENS , Une petite histoire du roman policier belge, Weyrich, coll. « Noir Corbeau », 2019, 99 p., 6,90…

Théâtre

Une œuvre ne se laisse pas réduire à l’effet immédiat qu’elle a produit lors de sa première apparition : ni dans l’espace sociologique, ni dans la mémoire de ceux qui l’ont côtoyée.…

Jeu de rôles

Dernier des neuf romans que l’on doit à Jean Muno (1924-1988), Jeu de rôles est bien davantage qu’un testament : il parachève une expérience littéraire globale et représente un aboutissement…

Fenêtres sur court

Pour fêter son quatre-centième titre, la collection Espace Nord fait la part belle au genre de la nouvelle. D’Adeline Dieudonné à Thomas Gunzig, de Kenan Görgün à Paul Colize, de Caroline Lamarche…

La véritable affaire de Bruxelles

Que s’est-il réellement passé à Bruxelles le 10 juillet 1873 entre Rimbaud et Verlaine ? Pourquoi ce fait divers célèbre a-t-il eu des…

Décollations

Décollations est une fantaisie en prose. Éditions L'Âge d'Homme, dans la collection La Petite Belgique, dirigée par Jean-Baptiste Baronian.

Simenon malgré lui

Dans un premier essai publié en 1964 et consacré, lui aussi, à l'auteur de La Neige était sale , Anne Richter se posait une question essentielle : le bonheur et la transcendance…

La Belgique de l’étrange

On a souvent évoqué l’existence d’une tradition fantastique en Belgique, tradition dont on s’est plu à rechercher les racines dans les tableaux de Jérôme…

Le délit

Paru en 1954, ce roman est hanté par l'histoire du XXe siècle et relève d'une méditation poétique sur la solitude. Le narrateur, un homme sans repère dont la seule valeur identifiable est…

Les sorties Genèse de janvier et février 2017

Trois parutions marquent le début de cette année 2017 aux éditions Genèse : la Vodka du diable de George Arion ; Hong-Kong Blues  d’Alain…

Cahiers Simenon - 30 - 2017 - Une géographie sentimentale

Sommaire • Vivre et mourir à Marsilly par Jean-Baptiste Baronian • Furnes par Philippe Proost • Ouverture Jean-Baptiste…

Revue Générale

Coordonné par Jean-Baptiste Baronian, grand spécialiste et amoureux de Simenon, le dossier « Présence de Georges Simenon » au…

Dossier pédagogique : Matricide

Fiche pédagogique consacrée à Matricide de Jean-Baptiste Baronian Télécharger le PDF https://objectifplumes.be/wp-content/uploads/2021/10/Matricide-de-Jean-Baptiste-Baronian.pdf…

Jean Ray, 14 rue d’Or

Henri Vernes s’honore d’une amitié de vingt ans avec Jean Ray. Après diverses préfaces et postfaces, il propose maintenant un…

Cahiers Simenon - Cahier 26 - nov. 2012 - Puissants et misérables

Sommaire • Hector Loursat ou l'humanité de Simenon par  Bernard Alavoine • Joris Terlinck, bourgmestre…

Littérature et cinéma

De Rimbaud à Duras, de Simenon à Bourdouxhe, de Steeman à Aymé, rares sont les écrivains qui n’ont pas entretenu un lien – étroit ou non – avec le cinéma. Entre adaptations,…

Bruxelles, un lieu polyphonique

Bruxelles ville carrefour Capitale d’un pays aux frontières internes, centre de l’Europe, terre d’immigration, lieu de brassage de langues et de cultures. Accueillante au point…

La cuisine de nos écrivains : à table avec Charles Baudelaire, J.-K. Huysmans, Marcel Thiry, Thomas Owen, Jean Haust, Claire Lejeune, etc.

« Il n’y a que les imbéciles qui ne soient pas gourmands. On est gourmand comme on est artiste, comme on est poète ». Incitant le lecteur au péché de gourmandise, Yves Namur cite Guy de Maupassant dans son introduction aux actes du colloque consacré à La cuisine de nos écrivains qui s’est tenu en octobre 2021, à l’occasion du centenaire de l’Académie royale de langue et littérature françaises de Belgique. La gourmandise est en effet de mise pour évoquer un sujet d’une telle ampleur. C’est que les écrivains ne manquent pas, qui ont fait de la nourriture un sujet à part entière  ou la métaphore de leur art, et du repas, le subtil décor de leur roman ou le symbole de l’appartenance sociale de leurs personnages. Et que l’on ne s’y trompe pas, les auteurs et autrices dont il est question ici, «  nos écrivains  », sont belges ou français. Ce sont les écrivains de notre patrimoine littéraire, ceux qui ont façonné (et façonnent encore) notre imaginaire. La gourmandise, comme la littérature, n’a pas de frontière. Ainsi, Jean Claude Bologne parle de Flaubert, Zola et Proust dans un chapitre consacré à «  l’architecture pâtissière  » quand Jean-Baptiste Baronian se penche sur Baudelaire et ses découvertes culinaires belges, notamment.Les liens entre les écrivains et la nourriture, c’est aussi l’appétit d’écrire de Claire Lejeune qui a dû quitter l’école à seize ans, à la mort de sa mère, pour nourrir ses frères et a eu la révélation de l’écriture comme «  autogenèse  » en cuisinant pour son propre foyer des années plus tard.«  La relation à la cuisine n’est évidemment pas la même pour un homme ou pour une femme  », remarque Danielle Bajomée qui rappelle les réflexions d’Annie Ernaux et Mona Chollet sur le sujet. « [ T ] ête  » mais aussi «  bouche gourmande  », Claire Lejeune écrit pourtant peu sur les nourritures terrestres. Comme Marguerite Duras, elle rédige un livre de recettes, mais elle le destine à sa sphère intime. Les recettes, glanées çà et là, sont familiales surtout, et se transmettent comme la mémoire des anciens.La présence de la nourriture en littérature se mue également en «  hantise du repas  » chez Huysmans. Comme le rappelle André Guyaux , de Des Esseintes ( À Rebours ) qui refuse de s’alimenter à Folantin ( À vau-l’au ) pour qui se nourrir est une obsession, la cuisine est capitale dans l’œuvre huysmansienne.Omniprésente dans la littérature, belge ou française, contemporaine ou patrimoniale, la nourriture l’est aussi dans la langue. Daniel Droixhe évoque les écrivains et philologues membres de l’Académie qui se sont attardés sur l’alimentation dans les dialectes de Wallonie. Il cite, par exemple, Pierre Ruelle et son ouvrage intitulé Dites-moi d’où viennent ces mots borains ?, dans lequel il est question de «  l’âte levée  » et de «  grogne  », mais aussi la poésie de Willy Bal et sa savoureuse description des fruits de saison, comme les «  frambôjes  » et les «  pètches  ». Après avoir distingué proverbe, dicton et phrase situationnelle, Jean Klein décortique la récurrence des aliments dans ce type d’énoncés.Enfin, évoquant, entre autres, Giono, Mallarmé et Maurice des Ombiaux, en guise de mise en bouche, Yves Namur s’attarde ensuite sur Thomas Owen et Marcel Thiry. L’œuvre de Thomas Owen, Les sept péchés capitaux, retient son intérêt pour son interrogation sur la figure du gourmand, bon gros paisible, accueillant, engourdi par la digestion ou […] être primitif et sanguinaire, trouvant son plaisir à mordre, à jouer de la dent ? mais surtout pour son portrait élogieux du personnage d’Igor bien bel homme […] qui ne vivait que pour manger. Chez Marcel Thiry, c’est le personnage d’Octave et son repas au Béfour (référence au restaurant parisien, Le Grand Véfour), décrit dans Comme si , qui fait l’objet de l’attention de l’Académicien.Et c’est avec une incitation à la gourmandise qu’Yves Namur clôture les actes d’un colloque qui ouvriront incontestablement l’appétit aux découvertes littéraires, sociologiques et linguistiques. Laura Delaye Plus d’information Le présent livre rassemble les actes d’un colloque organisé sur le thème de la cuisine de nos écrivains. Y ont contribué avec brio plusieurs membres de l’Académie qui ont tour à tour évoqué l’œuvre de quelques-uns de leurs prédécesseurs – Willy Bal , Maurice Delbouille , Jean Haust, Claire Lejeune , Thomas Owen , Maurice Piron , Pierre Ruelle , Marcel Thiry … – ainsi que les écrits de Joris-Karl Huysmans ou Charles Baudelaire. Quelques proverbes savoureux et l’«architecture pâtissière», envisagée…

Dossier pédagogique : Le policier en Belgique. Approche d'un genre

Le carnet pédagogique a été réalisé pour les enseignants du second degré désireux d’introduire…

Dictionnaire de citations pas comme les autres

On peut imaginer que, dans la vie de deux enseignants passionnés de littérature comme Liliane Schraûwen…

Théâtre

Une œuvre ne se laisse pas réduire à l’effet immédiat qu’elle a produit lors de sa première apparition : ni dans l’espace sociologique, ni dans la mémoire de ceux qui l’ont côtoyée.…

Cahiers Simenon - 22 - 2008 - Rapprochements et parallèles (II)

Sommaire • Georges Simenon et Jean Cocteau, une amitié jouant à cache-cache par Jean-Baptiste Baronian…

À la découverte de… – Genèse Édition #1

Genèse Édition, maison apparue il y a un peu plus de sept ans, s’est rapidement imposée dans notre paysage culturel belge francophone. Notamment…

Georges Simenon et Stanislas-André Steeman

1. LES CHEMINS PARALELLES En comparant le cheminement de ces deux « géants », non seulement du roman criminel, mais…