Désirs de paix, d’amour et d’harmonie entre les sexes, conscience écologique, autant de bonnes intentions pavent l’enfer d’une vie, celle d’une conteuse habitée par un double fantasmé, Maat, déesse omnipotente, et par une poignée de personnages dont les voix contradictoires la tenaillent.
Il y a du Jodorowsky, dans cette autobiographie poétisée que Dorothée Lambinon nous livre avec toute la force de son rire déflagrant sur les humains, leurs délires au nom de Dieu et d’un monde meilleur.
Sabbat Mater relève d’une cruauté bouffonne, digne d’un de Ghelderode, digne de notre époque.
De quoi peuvent bien parler des enseignants dans une salle de profs ? De tout et de rien,…
Un homme raconte son voyage entrepris à l'adolescence, qui lui a permis de faire des rencontres…