On dira que j’ai rêvé : Bousquet, Didier & Co

RÉSUMÉ

Hasards objectifs, « coïncidences pétrifiantes », rencontres improbables, signaux qui vous laissent éperdus comme au bord d’un abîme, trament ce roman de fils serrés qui finissent par former une tapisserie fantastique au dessin inoubliable.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Maxime Benoît-Jeannin

Auteur de On dira que j’ai rêvé : Bousquet, Didier & Co

Ecrivain mais aussi adaptateur et scénariste pour la télévision, Maxime Benoît-Jeannin s'est essayé à de plusieurs genres, comme la poésie, la biographie - 'Georgette Leblanc' - le roman - 'Mémoires d'un ténor égyptien' - ou encore la nouvelle. Parmi ses nombreux écrits, on peut notamment citer 'Le Florentin', 'Mademoiselle Bovary', 'La Corruption sentimentale' ou encore 'Chez les Goncourt'. En 2001, Maxime Benoît-Jeannin signe également un premier hommage à Hergé, 'Le Mythe Hergé', suivi en 2007 d'un ouvrage objectif et surprenant sur cette figure de la culture belge intitulé 'Les Guerres d'Hergé : Essai de paranoïa critique'.  
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Le Carnet et les Instants

Maxime BENOÎT-JEANNIN, On dira que j’ai rêvé. Bousquet, Didier & Co, Samsa/AAM, 2021, 183 p., 18 €, ISBN : 978-2-875932-76-1L’entrée en matière du livre est confortable. Fluide et classique. Le narrateur, qui est l’auteur du livre – et appelons-le Maxime pour nous faciliter la vie même s’il ne se nomme jamais –, descend vers Marseille en TGV. Sa destination ? Lyon, où un congrès de psychanalystes attend sa compagne Ida. Leur voisine de wagon feuillette de vieux Paris-Match, et voilà que s’affiche soudain une photo d’un homme intimement lié à la vie de Maxime. Petit échange entre les passagers. Ce Christian Didier, un camarade d’enfance, a eu son heure de gloire en 1993, lorsqu’il a abattu René Bousquet, le tristement célèbre…


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