Le poète « cachotier des manques » évoque avec nostalgie le temps béni d’avant les réseaux dits sociaux, le temps où les réseaux étaient « des poignées de mains qui aujourd’hui se comptent sur le bout des doigts ».
Auteur de Ne le dites à personne
Poète prolifique, Patrick Devaux publie ses recueils avec une régularité de métronome. Sa bibliographie (partielle !) donne le vertige et pourrait donner à craindre une profusion développée au détriment de l’inspiration. Ce n’est certes pas le cas ici.Avec Ne le dites à personne, Devaux se laisse porter par la nostalgie d’un temps qu’il regrette de n’avoir pu sauvegarder. Loin des réseaux sociaux (qu’il pratique pourtant avec une gourmandise allègre), ce temps-là préservait les vrais contacts (que le poète développe avec une non moins grande affabilité, ne serait-ce que dans l’exercice de ses responsabilités au sein de l’AREAW dont il est le président).Il alterne ce que la nostalgie véhicule de tristesse…
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