« Ce livre s’appelle Délires. Délires avec un S. Cette lettre en soi n’a rien d’antipathique. Elle prend ici un petit air de pluriel qui ne laisse pas d’inquiéter. Encore s’il s’agissait de délires amoureux. L’homme et la femme n’en sont pas à quelques délires près, paraît-il ; et dix S conviendraient mieux qu’un seul. Mais, dans les deux récits qui suivent, il est question du vrai délire, celui que les dictionnaires sérieux définissent par l’expression : perdre la…
Auteur de Délires
Adolescent, Charly Delwart avait pris l’habitude de faire des référendums auprès de ses amis pour…
Ciels assombris par la guerre, ciels nuageux de la vie familiale, ciels rougeoyants des lueurs de l'aciérie,…