« ‘Pour suivre Jésus, le Christ, rejetez-vous Satan ?’ Satan ! Au vingt et unième siècle ! Donc l’Église admettait toujours l’existence du Diable. Pourquoi nous cachait-on cela ? » Ainsi s’insurge la narratrice, une quadra banale, épouse et mère quelconque, lors d’une cérémonie religieuse prononcée au cours d’une fête familiale. C’est que cette liturgie aux accents d’exorcisme revêt pour elle les atours d’une réelle salvation, un arrachement à « l’autre » qu’elle invoquera corps et âme dans sa descente aux enfers. Qui l’y propulse ? Lui, l’autre, le « Prince de ce monde », le mal en personne, celui qui la séduira, l’obnubilera, la fascinera, la possédera, la détruira…Dans…
1849-1889. Le comte Bonifacio Della Rocca fait la connaissance d’Asmodée Edern à Venise.…
« […] mes vacances n’ont pas encore réellement débuté qu’elles s’annoncent déjà…