Elena revoit Pierre au nouvel An. C’est le début d’une histoire d’amour qu’elle n’a pas vu venir. Ils partent en voyage, enchaînent mariage, expatriation, et au retour… un bébé. À New Orleans, elle avait rencontré une prêtresse Vaudou, qui lui avait soufflé comme une vérité « Laisse ce corps retrouver sa maison ». Elena n’avait pas compris. Puis Marius nait. Elena est seule, personne pour comprendre. C’est le Big Mama’s blues. Elena cherche, questionne. Comment faire pour ne pas être que mère ?
Autrice de La femme seule
[Quatrième de couverture] Dans Sensations du combat , Anna Ayanoglou continue de mêler…
Une si gentille famille française, parachutée sur la planète soviétique à l'ère Brejnev, et qui…
Le journal de l'année 2006 de Melitza, une jeune Mexicaine. Il débute le 10 janvier…