L’écriture du théâtre dialectal mérite que l’on réfléchisse à ses enjeux, à ses contraintes, au statut même de la langue utilisée. Dans un premier article, Joseph Bodson a vanté les mérites d’une langue dialectale écrite « riante », « orissante ». Cette fois, Christian Robinet envisage quelques aspects liés à la problématique de l’adaptation au théâtre en wallon d’œuvres autant dialectales que françaises. *
Régulièrement, nous assistons dans nos salles à des spectacles de grande qualité. Plusieurs veines alimentent les répertoires travaillés par nos metteurs en scène et par les troupes au sein desquelles ils œuvrent. Pour l’essentiel, des pièces dialectales anciennes, revisitées, « dépoussiérées », remises au goût du jour, des pièces strictement contemporaines, adaptées le cas échéant d’un dialecte à l’autre, et des pièces émanant du répertoire comique français, en gros…
Bruxelles, un lieu polyphonique
Bruxelles ville carrefour Capitale d’un pays aux frontières internes, centre de l’Europe, terre d’immigration, lieu de brassage de langues et de cultures. Accueillante au point…
Mon amie roumaine, Rodica, de passage en Belgique, m’a relaté la journée qu’elle…
Le tourisme de mémoire au lendemain de la Première Guerre mondiale
[Traduit du néerlandais par Jean-Marie Jacquet.] Une sensation de vide et de tragique. Dès avant…