Lorsque par une froide nuit de décembre on repêche dans la Meuse, à Givet, le corps sans vie de Marcel Landrin, le nom d’Antoine Mahaut, un marinier de passage, est sur toutes les lèvres. Accident ou meurtre ? La question restera sans réponse car Mahaut se pend la nuit même dans la cellule où on l’avait enfermé. Négligeant d’étranges coïncidences, les enquêteurs auront tôt fait de classer l’affaire, laissant à la rumeur publique le soin de trancher. Vingt ans plus tard, alors…
«Depuis la révolution verte, les jouisseurs et les hédonistes sont emmenés, sous…