Si le titre du troisième roman de Franca Doura fait songer au recueil de nouvelles de Bruno Schulz, Les boutiques de cannelle, son récit construit l’espace de la lecture comme une boutique dans laquelle on pénètre, happé dans un climat de hasard, de fête foraine et de magie. Arpentage poétique des territoires de l’enfance, des paysages de l’amour, d’une recherche d’insolite, de rencontres fulgurantes, La boutique des fins heureuses s’ouvre sur une attraction d’une fête foraine, un spectacle intitulé Mémoire du monde. Sur la piste, un homme doué d’une mémoire prodigieuse répond sans faille aux questions les plus diverses du public. Les performances mnémoniques de l’artiste réveillent les souvenirs de la narratrice qui reconnaît…
Le concerto pour la main gauche
Bien des années après la Seconde Guerre mondiale, Gabriel et Tony se…
Bruits du dehors , le nouveau livre de Nicole Malinconi s’inscrit à plus d’un titre…