Je sais pas


RÉSUMÉ

Une belle journée de sortie des classes qui vire au cauchemar.
Une enfant de cinq ans a disparu.
Que s’est-il passé dans la forêt ?
À cinq ans, on est innocent, dans tous les sens du terme.
Pourtant, ne dit-on pas qu’une figure d’ange peut cacher un cœur de démon ?


À PROPOS DE L'AUTRICE
Barbara Abel
Autrice de Je sais pas
Depuis toujours, Barbara Abel se passionne pour la littérature et le théâtre. À 15 ans, elle suit les cours de théâtre à l’académie d’Etterbeek, chez Bernard Marbaix, grand comédien belge et professeur émérite. Après avoir obtenu sa licence en Philologie romane à l’ULB, elle part pour Paris où elle écume les cours de théâtre et les castings. Après quelques figurations au cinéma, des spectacles de rue et un nombre hallucinant de petits boulots en tous genres, le cœur la rappelle à Bruxelles où elle s’installe avec son amoureux. Professionnellement, la galère recommence, qu’elle décide de vaincre en écrivant une pièce de théâtre : « L’esquimau qui jardinait ». Lasse de compter sur le désir des autres pour exister, elle monte la pièce avec son compagnon, Gérard Goffaux, aidés de Jacques Viala qui s’occupera de la mise en scène et de Danièla Bisconti qui lui donnera la réplique. La pièce est un succès public et sera jouée à la Samaritaine, au C.C. Jacques Franck et au festival de Spa. Ce qu’il ressort de l’aventure ? Un gout certain pour l’écrit à défaut de contrat dans le théâtre. Barbara Abel se lance pour de bon dans l’écriture : après tout, si jouer seule dans son salon n’a aucun intérêt, personne ne peut l’empêcher d’écrire. Elle rédige un premier roman de 800 pages, une brique pas vraiment publiable en l’état mais dont les qualités littéraires sont indéniables. Elle l’envoie partout, en France, en Belgique et même au Canada, essuie les refus dont certains l’encouragent toutefois à persévérer, s’accroche à ce conseil et persévère en effet. Bien lui en a pris car, après avoir rédigé divers petits textes qui seront publiés dans des revues littéraires, puis deux scénarios de court métrage, elle retente l’aventure du roman et se lance dans l’élaboration d’un « polar ». « L’instinct maternel » obtiendra le prix du festival de Cognac en 2002 et sera publié aux éditions du Masque, très vite suivi par d’autres romans policiers : « Un bel âge pour mourir », « Duelle » et enfin « La mort en écho ».  


NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Barbara Abel s’est fait un nom dans le monde très prisé des auteurs de polars où elle poursuit son chemin depuis la parution de L’instinct maternel, en 2002, qui lui a valu le Prix Cognac. Avec son onzième roman, elle nous entraîne dans un tourbillon de faits d’une rare et noire densité, au cœur des désordres familiaux.Camille est une jeune mère dont la vie pourrait être sans histoires. Sa petite fille Emma, dont on a fêté le cinquième anniversaire, lui vaut des éloges pour sa beauté et elle forme un couple aisé avec Patrick, son mari, et ses copines lui envient sa situation. Mais elle a depuis peu succombé aussi aux charmes d’Étienne, un homme plus âgé qui la poursuit de ses assiduités et ne lui laisse aucun répit, lui offrant la part d’aventure pimentée…


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