Mirwart, Vesqueville, Bure, trois villages d’Ardenne bien connus de l’auteure, qui y a campé cette émouvante saga familiale.Issue d’une longue lignée de fermiers, Marie-Jeanne a été éduquée selon des valeurs traditionnelles qui ont forgé son caractère. Aînée de famille, droite et généreuse, elle possède un sens aigu des responsabilités et du travail bien fait.Elle est douée pour l’écriture, et, depuis son jeune âge,…
Auteur de Marie-Jeanne, femme d'Ardenne
Humanités Greco-latines (Institut de la Vierge Fidèle à Bruxelles).
Graduat en Secrétariat de Direction (ECSEDI) avec grande distinction.
Cycle de 3 ans d'approfondissement de la foi (Salésiennes de Don Bosco).
Après avoir exercé des activités professionnelles au sein du monde bancaire et de la publicité, elle occupe actuellement des fonctions actives au sein de plusieurs associations, comme :
Secrétaire-trésorière de l'a.s.b.l. "Les Amis de l'Académie de Musique de Woluwe-Saint-Pierre". Choriste-soprano et trésorière du Choeur Sammartini.
Secrétaire-trésorière de "l'Association Familiale de Donnea".
Vice-Présidente et Rédactrice en chef des Cahiers de la Fédération des Associations de Famille (F.A.F.).
Secrétaire-trésorière de l'association "Les Amis du Château de Mirwart".
Ecrivain, membre de l'Association des Ecrivains Belges de langue française (A.E.B.).
Membre du jury du Prix littéraire du Cercle Royal Gaulois (Prix de la Biographie).
Membre du Grenier Jane Tony.
Répertoire de l'Association des Ecrivains Belges de Langue Française.
" Je sens ses bras autour de ma taille. Il me serre si fort. Je n'ose ouvrir les yeux. La chaleur de sa langue sur la mienne, que c'est doux, que c'est bon. Je profite de ce baiser qui n'en finit pas, de ses mains qui crient tendresse, de ses jambes qui disent caresses, de ce corps qui surgit de l'arbre en chantant l'Amour !". Les sept visages de l'eau, un mariage d'amour et de haine où le passé imprègne le présent et détermine l'amour. FranMi nous emmène à travers une recherche d'identité, d'un rôle social dans une communauté villageoise qui, à l'instar de Saint-Léger, son village d'adoption, présente plein de contradictions. Comment vivre, comment demeurer dans un environnement où les traditions et habitudes anciennes se frottent à la consommation et la vitesse…
Les folles enquêtes de Magritte et Georgette : Pataquès à Cadaquès
Depuis plus de 25 ans, Nadine Monfils réjouit les amateurs de polars atypiques avec ses séries à grand succès mettant en scène des enquêteurs loufoques dans des péripéties drolatiques et totalement décalées qui lui assurent une place unique dans le vaste paysage de la littérature policière. Lancée en 2021 avec Nom du pipe ! , Les folles enquêtes de Magritte et Georgette constituent certainement à ce jour sa plus réjouissante proposition en matière de fiction policière. Flirtant avec le genre habituellement plutôt sage du cosy mystery , la série met en scène, en détectives amateurs, le couple René et Georgette Magritte. Une idée aussi surprenante que réjouissante qui permet à Nadine Monfils d’exploiter ses fines connaissances de la vie et de l’œuvre du peintre surréaliste tout en célébrant une Belgique faite de fritkot et de cuistax à la mer toute droit sortie des Petits mythologies belges de Jean-Marie Klinkenberg. Pataquès à Cadaquès emmène, en guise d’ultime aventure, le couple Magritte en Espagne, auprès de Salvador Dalí afin d’enquêter sur les agissements d’un mystérieux tueur s’inspirant des célèbres toiles du peintre espagnol dans la mise en scène de ses crimes. Une excellente occasion pour l’autrice de confronter l’excentrique et exubérant peintre espagnol avec le bien plus réservé, mais pas beaucoup plus sage, René Magritte. Un contraste qui constitue certainement l’un des plus grands charmes de ce Pataquès à Cadaquès . Du reste, les lecteurs assidus retrouveront dans cette nouvelle itération tous les ingrédients qui font le charme de ces enquêtes. Car le plus grand talent de l’autrice est assurément d’assembler sans peine et dans un remarquable esprit de synthèse anecdotes véridiques sur les personnages bien réels qu’elle met en scène, intrigue policière solide et exploration amoureuse de l’art surréaliste. Un mélange détonnant qui fonctionne avec une surprenante efficacité et témoigne de l’imposant travail préparatoire mené par Nadine Monfils pour l’écriture de cette série.On ne quittera pas sans peine cet épisode annoncé comme le dernier. D’autant plus que l’autrice réserve une étonnante surprise à la fin du roman qu’il serait bien dommage de révéler ici. Ce dernier tour de passe-passe, aussi amusant qu’émouvant, en guise d’au revoir ne manquera pas de toucher les nombreux amateurs de ces folles enquêtes à nulle autre pareille. Nicolas Stetenfeld Plus d’information Magritte et Georgette sont en vacances chez Dali et Gala, à Cadaquès. L’atmosphère idyllique se noircit lorsque Loulou, le chien de Magritte, découvre un corps de femme au visage caché par un masque à l’effigie de Dali. Le couple découvre alors qu’un tueur en série sévit à la gare de Perpignan. Ils…