« Écrire après Auschwitz ? Comment imaginer écrire, nommer l’innommable ?
Pierre Mertens nous invite à lire ces auteurs qui, revenus des camps de la mort, ont pris la parole. Il se penche autant sur leur façon de la prendre que sur leur mise en mots de l’abject.
Si, pour le philosophe Adorno, « l’art – et plus particulièrement la poésie – apparaissait comme impensable après Auschwitz », des auteurs ont pris le parti contraire : Paul Celan, Primo Levi, Robert Antelme, Jean Cayrol, Jorge Semprun,…
Cet ouvrage, dont la publication a été dirigée par Ginette Michaux, rassemble les conférences de trois des quatre auteurs invités à la session 2001 de la Chaire de Poétique de l'Université…