Boulevard des Ombres


RÉSUMÉ

Un monteur de cinéma traqué par des tueurs bien réels. Une starlette disparue lors d’une mystérieuse croisière. Un journaliste «tué» d’une balle dans la tête, alors qu’il était déjà mort. Une prostituée asiatique qui veut repartir à zéro, mais peut-on jamais s’arrêter de trahir ? Un inspecteur, Ring Lennox, qui a perdu le goût de vivre depuis la mort de sa femme – et se console avec le goût des cigares. De Greenwich Village à Chinatown, dans une atmosphère crépusculaire, les…



PRIX
  Grand prix de littérature policière 1993

À PROPOS DES AUTEURS
Paul Couturiau
Auteur de Boulevard des Ombres
Si on en croit l’état-civil, je suis né le 27 juillet 1952, à Bruxelles. Une chose est sûre, mes racines plongent en terre de Breughelland… n’en déplaise aux imbéciles qui veulent la peau de la Belgique. J’avais douze ans quand ma grand-mère m’a dit: «Toi, tu seras journaliste». Avec l’aplomb de cet âge insolent, j’ai rétorqué: «Non, je serai écrivain!». Ça m’en a pris du temps! Faut dire que mes parents me rêvaient fonctionnaire. Pour les contrarier, j’ai étudié le marketing et la publicité avant de tâter de la banque pendant dix interminables années d’ennui. Pour survivre, j’ai créé une troupe de théâtre, qui a vécu des heures heureuses à ‘L’Île Saint-Louis’, petit théâtre – hélas défunt – de la rue des Éperonniers; j’ai aussi créé un magazine littéraire, Magie Rouge, et j’ai écrit, écrit, écrit… Enfin, l’appel du large est devenu insupportable. Je me suis embarqué pour Paris sur un vieux rafiot qui m’a fait échouer sur le rivage d’un éditeur, où j’ai trouvé à m’employer comme traducteur et conseiller littéraire. C’était en 1981, l’année de ma vraie naissance – un moyen efficace pour rester jeune, non? Mon premier roman est paru en 1992… il a remporté le Grand Prix de Littérature Policière. Depuis, je continue à écrire. Aujourd’hui, après des années à avoir joué traducteur, conseiller littéraire, directeur de collection, directeur d’édition, je ne fais même que ça… écrire. Pourquoi? Parce que la réalité m’ennuie. Alors, je me réfugie dans l’imaginaire. Là, je me sens bien. Je suis chez moi. Avec ma famille: mes personnages et ceux des romans que j’ai aimés.


NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Pour son premier roman, mon pote Couturiau n’a pas choisi la voie — ni la voix — la plus facile. Il est vrai que pour nous concocter ce Boulevard des Ombres qui s’annonce de prime abord comme un vrai polar « made in U.S.A. ». il pouvait compter sur son expérience de tra­ducteur, ses longs séjours outre Atlantique et ses amitiés américaines. X’empêche. ce n’est pas une mince affaire pour un Euro­péen de poser le décor d’un New York ou d’un Miami qui ne tiennent ni du mauvais feuilleton télévisé ni du pastiche alimentaire français de l’après-guerre (fût-il aussi talen­tueux, au demeurant, que ceux de Vian ou de Malet)… Or. l’Amérique urbaine de Cou­turiau, dont les seuls clichés sont parfaite­ment indigènes, possède la vérité discrète des évidences…


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