Au fond un jardinet étouffé


RÉSUMÉ

Bruxelles n’a jamais rien eu d’extraordinaire. Elle a toujours été la ville. La capitale. Dans mon enfance entourée de villages, Bruxelles a toujours été la ville.
Bruxelles, premier repère mental insufflé en primaire sur la carte d’une Belgique qui m’était en fait inconnue. Connaît-on jamais vraiment son pays ?
Jusqu’à mes dix-huit ans, les souvenirs que j’ai de la ville sont tout ce qu’il y a de plus flous, à l’image du caractère abstrait qu’elle avait pour moi.
Je suis entrée en conflit avec Bruxelles quand elle est devenue réelle. Avant ça, je n’avais rien à craindre, elle ne me connaissait pas.





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Le Carnet et les Instants

Chaque fin d’année, depuis onze ans, l’éditeur bruxellois Maelström nous décoche une salve de huit booklegs dans le cadre d’une collection « Bruxelles » se conte initiée par la COCOF (Commission Communautaire Française de la Région Bruxelles-Capitale).Des booklegs ? Des livres édités à prix démocratique (3 €), arrimés à un évènement (musical, poétique), dont ils constitueront la trace. En l’occurrence, l’anniversaire de la librairie adossée à la maison d’édition, la présentation des ouvrages et leur mise en scène (lectures avec fil rouge, investissement de divers espaces) furent consubstantiels.Parmi ces petits objets au graphisme raffiné, Au fond un jardinet étouffé nous touche particulièrement. Une première…


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