Des poèmes sur le voyage qui évoquent la solitude essentielle. D’un continent à l’autre, de l’apogée au déclin des civilisations, l’homme apparaît comme immuable, cheminant sur le vide.
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…