« Automne / Feuilles mortes / De l’âme au fil des eaux // Hiver / Troncs debout / Crayonnant dans la neige // Printemps / Vent soufflant / Sur les thés de l’herbe // Bel été / Poème et fruits / Presqu’au pied de l’arbre »
Auteur de A l’ombre du bonsaï
Pour des raisons d’antifascisme liées à une histoire familiale particulière (il est le fils d’une mère juive et d’un père d’extrême droite), Werner Lambersy, poète belge d’origine flamande, a choisi d’écrire exclusivement en français. Il s’est également expatrié, vivant depuis de longues années à Paris. Il a écrit une quarantaine de livres de poésie et une soixantaine de livres d’artistes. Comme il aime le rappeler : « On ne peut pas donner rendez-vous au vent, mais on peut toujours laisser la fenêtre ouverte ». Cela fait donc plus de soixante ans qu’il laisse la fenêtre ouverte et qu’il écrit des poèmes.
A l’ombre du bonsaï paraît à L’Âne qui butine, maison d’édition atypique, aimant publier…
On aurait envie de penser, en lisant S’éclipser, le premier recueil d’Aliette Griz, qu’il renoue avec une…