Après Bye bye Elvis (2014), qui retraçait la descente aux enfers et le décès de la grande star, Caroline De Mulder revient en terres mosanes et elle y décline un polar sombre à l’issue improbable. Sur les talons d’un policier, elle nous entraîne dans une enquête aux indices dispersés et aux contours indécis.Tout débute avec les craquements d‘une villa prête à s’écrouler dans laquelle s’apprête Lies, une jeune femme qui ignore le danger qui la menace. Sans que nous sachions ce qu’il advient d’elle au terme du compte à rebours, l’effondrement se produit et mobilise les services de secours. À leur suite, le Luitenant Frank Doornen arrive sur les lieux et débute une enquête qui prend vite une tournure impossible. Ce qui est certain, c’est que l’immeuble…
Dans la chambre de ce luxueux hôtel, l’homme nu est ligoté et bâillonné sur le lit. De l’autre côté du gun, le revolver, qui le menace, il y a une adolescente de presque 16 ans, Bambi, Hilda de son prénom, Dada pour sa mère. Le vieil homme a été attiré par le biais d’un site de rencontres, de sugardating. Bambi, aux yeux de biche, ne supporte pas qu’on la touche, mais elle apprécie l’argent liquide, la montre, l’ordinateur et tout ce qui est monnayable. Elle se sent victime et estime avoir le droit de prendre tout ce que l’on ne lui donne pas gratuitement : « C’est pas ma faute, Leï, pas la tienne. Faut jamais l’oublier. On est des putains de victimes. On a tous les droits. ». Le gun qui la sert si bien et qu’elle chérit est tout ce qui lui reste de son…
Dans la chambre de ce luxueux hôtel, l’homme nu est ligoté et bâillonné sur le lit. De l’autre côté du gun, le revolver, qui le menace, il y a une adolescente de presque 16 ans, Bambi, Hilda de son prénom, Dada pour sa mère. Le vieil homme a été attiré par le biais d’un site de rencontres, de sugardating. Bambi, aux yeux de biche, ne supporte pas qu’on la touche, mais elle apprécie l’argent liquide, la montre, l’ordinateur et tout ce qui est monnayable. Elle se sent victime et estime avoir le droit de prendre tout ce que l’on ne lui donne pas gratuitement : « C’est pas ma faute, Leï, pas la tienne. Faut jamais l’oublier. On est des putains de victimes. On a tous les droits. ». Le gun qui la sert si bien et qu’elle chérit est tout ce qui lui reste de son…