Résultats de recherche pour “Werner Lambersy” 1 à 30 (145)
Portraits d'une centaine d'écrivains belges d'expression française saisis par Jean-Pol Stercq. Chaque portrait est accompagné d'un bref poème écrit par Werner Lambersy.
Suite d'instantanés en vers libres évoquant la forme du haïku, attachés à restituer le quotidien dans ses aspects les plus fugaces.
Dans un voyage dans l'espace intérieur, D. Serplet et W. Lambersy, par l'image et le texte, tentent de retrouver la terra incognita que l'homme reste pour…
Echangerais nuits blanches contre soleil même timide
L'auteur s'amuse ici de sa fausse sagesse et de sa feinte lucidité. Il en reste, comme dans un…
Un poème sur les souvenirs d'enfance de l'auteur, plus particulièrement celui de son père qui a rejoint la Wehrmacht et a participé à l'extermination du peuple…
Succession de réflexions de l'auteur sous forme de courts poèmes. Contient une peinture, le Gisant de Saint-Prosper (1790).
Un recueil de poèmes où il est fait référence aux anciens cultes grecs et aux philosophies de l'Inde et du Japon.
Ecrits sur une écaille de carpe
Pour l'auteur, écrire sur des écailles de carpe est un exercice de concision, d'humilité et de jubilation rêveuse. C'est retrouver la grammaire…
L’œuvre de Werner Lambersy est vaste, comme un océan agité de ténèbres. Pour le parcourir, Philippe Bouret a choisi d’y tendre une ligne de…
Pour des raisons d’antifascisme liées à une histoire familiale particulière (il est le fils d’une mère juive et d’un père d’extrême droite), Werner Lambersy,…
Werner Lambersy, poète et prosa teur, aime — parmi tant d’autres choses — les paysages, la photographie, comme le prouvent La Magdeleine de…
Un poème de Werner Lambersy ainsi que cinq gravures à l'eau-forte de Bracaval. Un poème de Werner Lambersy ainsi que cinq gravures à l'eau-forte de…
Une ode à un fleuve ? L’entreprise apparaît d’emblée surannée, à une époque où le Poète, définitivement doublé par le virtuel, n’est plus censé se faire ni Mage ni Voyant. Werner Lambersy, lui, a décidé de ne pas déchanter, en nous offrant cette « suite zwanzique et folkloresque » que constitue Escaut ! Salut Le recueil se déambule à flanc de berges et se pérégrine à rebours, depuis un aval situé à Antoing jusqu’à l’embouchure anversoise. Une démarche à contre-courant que Thomas Joiret explique en ces termes, dans une élégante postface : En remontant le fleuve jusqu’à son lieu de naissance, l’auteur effectue bel et bien, par la force de son geste, un inéluctable travail de mémoire. Une mémoire neuve. Sans romantisme ni nostalgie. Les confessions modernes d’un Homme dont l’Escaut ride à peine les reflets . La simple restitution du conteur dans le papier d’argent de ses eaux Difficile, lorsque l’on s’inscrit dans la tradition littéraire scaldienne, de ne pas emboîter le pas des aînés, dont celui de l’immense Verhaeren. Mais si le fleuve traverse, avec sa lente assurance, les siècles, ce qui préoccupe Lambersy n’est pas de figer ce mouvement dans son imagerie stéréotypique. « La grande affaire / c’est la terre qui respire » tout autour, à travers les poumons des hommes et des femmes qui peuplent les paysages naturels ou urbains. On ne s’étonnera donc pas de croiser, parmi une faune breughélienne où se reconnaissent Dulle Griet ou Titus Bibulus Schnouffius, des « Garçons / aux ïambes tagués de slam / et hip-hop // [qui] sont branchés wifi / brassent un coin de cosmos / et parlent // en passant par le point vide / de l’horizon »…En laissant côtoyer ainsi, entre le vénérable collège Sainte-Barbe et le tout récent musée ethnographique du MAS, les fantômes d’Adriaen Brouwers (peintre admiré de Rubens), de Brabo (le soldat romain qui libéra Anvers de la mainmise du géant Druon Antigone) et du Chevalier Bayard, avec les figures plus contemporaines du rocker Ferré Grignard, du poète Leonard Nolens ou de la chorégraphe Anna Teresa de Keersmaeker, Lambersy sort l’Escaut du lit douillet que lui ont creusé les anthologies poussiéreuses et le galvanise de sa plus énergique modernité. Le choix du bilinguisme, quant à lui, rend au fleuve sa vocation première : être ce « miroir des anges », étiré sur plusieurs kilomètres, où vient se refléter notre identité. N’oserait-on même…
Dernières nouvelles d’Ulysse : Avis de recherche
Hubert Haddad le déclare dès l’entame de sa préface : « La poésie au fond ne s’éclaire…
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