La littérature?! Hé hé… Guerre sans merci contre des moulins à vent… Dans cet affrontement immémorial et cruel, absurde et pathétique ‒ mais combien sublime, combien attirant ‒ , dans cet affrontement grandiose et ridicule, le rôle de la critique se réduit à compter les grains de poussière que soulèvent les chevaux lancés au triple galop… Et dieu sait combien même le plus maigre canasson peut chasser de terre sur son passage… Assumant cette tâche ingrate, les notes que l’on va lire ne visent qu’à singer un exercice d’érudition parfaitement vain qui prétend se glisser entre des actions imaginaires pour en déchiffrer le sous-titre confus. Il s’agira, en l’espèce, d’approcher l’ombre épique qui tient plus de l’écuyer joyeux que du chevalier à la triste figure – une espèce de Sancho équatorien qui serait né à Namur, fin 19e ‒ , plus du vent que des moulins, du poisson que du chat, etc., etc.
{a} Henri Michaux n’a pas de visage.…
Avant toute chose, c’est avant la vie et avant ce qui viendra, maintenant. Entretien avec Noé, auteur-compositeur-interprète…