Visages de Henri Michaux

La littérature?! Hé hé… Guerre sans merci contre des moulins à vent… Dans cet affrontement immémorial et cruel, absurde et pathétique ‒ mais combien sublime, combien attirant ‒ , dans cet affrontement grandiose et ridicule, le rôle de la critique se réduit à compter les grains de poussière que soulèvent les chevaux lancés au triple galop… Et dieu sait combien même le plus maigre canasson peut chasser de terre sur son passage… Assumant cette tâche ingrate, les notes que l’on va lire ne visent qu’à singer un exercice d’érudition parfaitement vain qui prétend se glisser entre des actions imaginaires pour en déchiffrer le sous-titre confus. Il s’agira, en l’espèce, d’approcher l’ombre épique qui tient plus de l’écuyer joyeux que du chevalier à la triste figure – une espèce de Sancho équatorien qui serait né à Namur, fin 19e ‒ , plus du vent que des moulins, du poisson que du chat, etc., etc.
{a} Henri Michaux n’a pas de visage.…

   lire la suite sur   REVUES.BE


FIRST:ibid. poésie oeuvres complètes édition rythme xx pli texte répétition mouvement introduction vie parti du rythme fin écriture âme visage tête recherche mur lettres modernes corps cahier bibliothèque de la pléiade - "Visages de Henri Michaux"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 10141 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Conrad Detrez, enfant du siècle et persona non grata

En 2015, le silence aura été quelque peu assourdissant autour du trentième anniversaire de la disparition de Conrad Detrez. Si…

Ethnographie gourmande de la Ducasse montoise

[p. 243  version papier]  Dissipons un malentendu…

L'Ouragan, un roman court

Beaucoup de places étaient vacantes dans le compartiment de première,…