« Écrire des deux mains, et que chacune écrivît le contraire de l’autre ».
Un constat que Françoise Mallet-Joris exprime en se citant elle-même, lorsqu’elle fait le portrait de Suzanne Lilar. Nul doute que cet objectif qu’elle attribue à sa mère n’ait aussi été le sien puisque la diversité, parfois l’opposition interne de l’œuvre à écrire, jour après jour et pendant toute une vie, fut un souhait fondamental.
* Lors de l’annonce de la mort de Françoise Mallet-Joris, à la fin de l’été, le 13 août 2016, furent diffusées de nombreuses informations bio- et bibliographiques, dans la presse et sur les réseaux, mais fut aussi republié son discours de réception à l’Académie Royale de langue et de littérature…
Le Futur de l’archive et l’Archive de demain
Contrairement à l’image poussiéreuse que lui prête l’imaginaire populaire, l’archive est avant tout une affaire d’avenir. Dans la…