RÉSUMÉ

« David André s’interroge sur sa condition d’homme vivant dans la société des hommes ; et, libère, à travers des mots réinventés, des cris trop longtemps retenus, des souffrances enfouies face à un monde toujours à refaire.

Poète engagé, David nous insuffle sa capacité de révolte et d’indignation. Il nous entraîne sur ses barricades, et nous donne l’envie de le suivre dans ses combats contre l’injustice, les inégalités, l’exclusion, l’individualisme.

L’auteur nous rallie à son refus de l’aliénation de l’homme, et dénonce les nouvelles formes de dépendance que peuvent engendrer l’utilisation abusive de l’informatique, conduisant au repli sur soi, à l’isolement, à la solitude pour qui cherche un hypothétique refuge dans le monde virtuel.

Même lorsqu’il évoque le quotidien, ou qu’il réveille le souvenir, David échappe toujours à la banalité ; et, ses perceptions visuelles, auditives, olfactives ou tactiles, mises en images, prennent un caractère d’universalité. » ( Jacqueline Boitte)

À PROPOS DES AUTEURS
David André

Auteur de V 51

Né à Haine-Saint-Paul (La Louvière) le 22 octobre 1971, David André est membre des Scriveûs du Cente depuis 1993. Il est également Compagnon de la Louve depuis 2011. Au quotidien, il est employé au service Communication de la Ville de La Louvière. Il est le lauréat de plusieurs prix littéraires : Prix de la Fédération wallonne et picarde du Hainaut 1996 pour Intrè blancs èyèt nwârs silances, Prix Walla de littérature dialectale 1999 pour Poûssières dè vîye, Prix biennal hennuyer de langues régionales 2002 pour Wayin, Prix triennal de poésie en langue régionale de la Fédération Wallonie-Bruxelles 2011 pour V 51...
Philippe Decressac

Illustrateur de V 51


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Drôles de biète

Dans la petite île de « Bien loin là-bas », la radio annonce l’ouragan « Quel bazar » qui s’approche méchamment. Les habitants sont priés d’évacuer dans les plus brefs délais car tout va être détruit. Kamékona qui s’occupe du petit zoo local, ne veut pas abandonner ses animaux à leur triste sort. Que deviendraient Fleurette la girafe, Clémencin le zèbre, Nicéphore l’éléphant et Philogène le rhinocéros ? Soudain, il se souvient de son oncle Adémar, parti vivre en Belgique après avoir suivi un amour de vacances. Kamékona espère bien que son oncle, qui vit dans une petite ferme retirée, voudra bien les accueillir quelque temps chez lui. À leur arrivée, l’accueil de Marguerite la vache, Edouard l’étalon, Josette la chèvre, Sidonie et Aglaée les deux oies, Augustin le lapin, Pépette et Kakette les deux poules n’est pas vraiment enthousiaste. Mais qui sont ces drôles d’animaux venu d’ailleurs, de bien loin, qu’est-ce qu’ils viennent faire aussi loin de chez eux, quelles sont leurs intentions ? La cohabitation s’annonce difficile mais, heureusement, un animal inattendu va apparaître et devenir l’interprète entre les deux tribus… Cette histoire a d’abord été écrite en langue picarde par Christelle Lemaire et illustrée par Caroline Lemaire. Elle a ensuite été adaptée dans quatre autres langues régionales : en wallon des régions de Bastogne, Charleroi, Liège et Namur. Ces adaptations ont été réalisées par Michel Francard, Jean-Luc…