Orné de dessins de Philippe Joisson, de M. la Mine et de l’auteur, cette fable en vers de François Degrande s’ouvre sous une épigraphe on ne peut plus révélatrice : Inspiré de faits réels basés sur une fiction…Le recueil raconte les multiples tentatives manquées de spiritisme auxquelles se livre le narrateur. La première s’ouvre sur une invention capable de bouleverser l’équilibre économique des sociétés d’auteur dans le monde (nous n’en dévoilerons pas davantage ici pour ne rien divulgâcher).Cette formidable entrée en matière donne le ton des élucubrations rimées qui évoqueront aussi bien la détresse des très riches, ce 1% de la population composé de milliardaires, ou ce Bienheureux…
Qu’importe le temps quand on aime Voilà pourquoi je me promène Lors de son entrée, en anthologie,…
Incarner le désincarné, laisser la présence en pointillé, sur la pointe de la venue et de la partance,…
Thibaut Creppe n’est pas un inconnu au sein du petit monde de la littérature belge. Né en…