Trage-comédie pastoralle (1594)


RÉSUMÉ

Introduction et notes de Gustave Charlier


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Études de syntaxe descriptive. Tome II : La syntaxe de l'interrogation

À propos du livre (texte de l'Avant-propos) Au public qui a bien voulu prendre intérêt à notre première série de recherches dans le domaine de la syntaxe descriptive , nous présentons aujourd'hui de nouvelles observations portant, cette fois, sur la syntaxe de l'interrogation. Nous ne réitérerons pas ici notre conviction, exprimée déjà dans l'avant-propos de notre précédent volume, quant à la nécessité d'un perpétuel remodelage des grandes synthèses de linguistique française au moyen de monographies consacrées à des problèmes particuliers. Certes, on ne saurait prétendre que la doctrine soit muette sur la syntaxe de l'interrogation : bien au contraire, commentaires et remarques fourmillent, mais en ordre dispersé et il faut aller les découvrir sous les rubriques les plus diverses, et cheminer péniblement du pronom interrogatif aux principes de la phonétique syntactique, pour revenir à l'adverbe interrogatif après un crochet par la morphologie du verbe, sans oublier, bien entendu, une halte prolongée au chapitre de l'ordre des mots. Nous avons pris occasion d'un article de Léopold Gautier qui se posait et posait à ses confrères la question de savoir ce qu'il fallait penser de l'insertion de la périphrase interrogative dans les subordonnées d'interrogation indirecte. De fil en aiguille, nous sommes ainsi remonté à travers les innombrables ramifications du problème de l'expression de l'interrogation en français. Aidé de la doctrine, nous appuyant sur des textes, nous avons tenté d'ordonner la matière dans un cadre commode, de fournir des points de repère, de délimiter les questions, de suggérer des solutions. Sans doute les vues originales paraîtront-elles singulièrement clairsemées dans les pages qui suivent et dont le seul mérite est d'ouvrir çà et là une perspective nouvelle. Nous avons eu — les spécialistes le savent — un prédécesseur illustre. Il y a quarante ans, Lucien Foulet consacrait une centaine de pages de la Romania au sujet qui a fourni la matière du présent volume. Refaire le travail de Foulet serait une entre-prise téméraire. Révoquer en doute, sauf sur de très rares points de détail, la pertinence de ses analyses toujours fines et pénétrantes serait une tentative vouée à l'échec et au ridicule. En fait, nous n'avons nullement visé à remplacer une oeuvre qui garde à nos yeux sa pleine valeur. Beaucoup plus simplement, nous avons pensé qu'il importait de faire déboucher sur la langue actuelle une étude qui avait été menée essentiellement d'un point de vue diachronique et fortement centrée sur les états anciens de la langue. Et si, finalement, notre travail a quelque mérite, ce ne pourra être que grâce à celui…