Regards occultes sur les écritures

RÉSUMÉ

Quel visage prendra la redoutable inconnue de nos échéances terrestres ? Celui du néant ou celui de la survie ? S’il y a survie, à quoi ressemble-t-elle ? Quelle est notre position exacte dans l’univers des formes et des énergies ? Ne serions-nous que les ridicules pantins d’un destin fixé d’avance ?Trop de personnes en Occident s’éloignent des religions parce qu’elles ne leur ont pas dit ce qu’il fallait leur dire. Bien sûr, pour le croyant convaincu, pétri de foi, de certitudes religieuses…

   lire la suite sur   Service du Livre Luxembourgeois
À PROPOS DE L'AUTEUR
Christian Piscaglia

Auteur de Regards occultes sur les écritures

Il effectue des études de technicien en électricité et fut employé pendant deux ans comme technicien de laboratoire chez Nestor Martin à Bruxelles, ensuite, il fut employé de bureau à l'usine d'Athus. Il reprit des études supérieures l'E.N.E. Virton. Il est à présent professeur à l'Institut d'Enseignement spécial de Saint-Mard.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Regards occultes sur les écritures"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

L’Affaire De Coster | Van Sprang

À propos du livre Un dossier inédit, découvert…

Lamartine critique de Chateaubriand dans le Cours familier de littérature

À propos du livre (4e de couverture) Les historiens contemporains des lettres françaises de Belgique tiennent avec raison que La Légende d'Ulenspiegel en est le livre fondateur. Toute fondée qu'elle soit, cette assertion a tardé à prendre forte d'évidence. Lorsque Charles De Coster fait paraître sont livre, en 1867, seuls quelques lecteurs perspicaces y prêtent attention sans parvenir à lui assurer une quelconque reconnaissance. Et c'est aussi pauvre qu'inconnu que l'écrivain meurt en 1879. Il est vrai que «La Jeune Belgique», quinze ans plus tard, reconnaît son rôle, mais le statut de son livre n'en est en rien changé : il a peu de lecteurs, il n'est pas pris au sérieux. Tel n'est pas le cas du jeune Joseph Hanse dont l'Académie royale de langue et de littérature françaises s'empresse, dès 1928, de publier la thèse de doctorat consacrée à Charles De Coster et dont Raymond Trousson écrit aujourd'hui dans sa préface : «Ce coup d'essai était un coup de maître. Soixante-deux ans après sa publication, ce livre demeure fondamental, indispensable à quiconque entreprend d'aborder l'œuvre magistrale qu'il mettait en pleine lumière.» Devenu introuvable, enfin réédité aujourd'hui, le Charles De Coster de Joseph Hanse, qui a ouvert la voie à toutes les études ultérieures et internationales sur le sujet, fera figure, pour beaucoup, d'une découverte et d'une…

Wallonie rapsodie

Essai sur l'identité d'un peuple.La bistouille, l'escavèche mais Robert Campin, Simenon, le site mégalithique de Wéris,…