Poésie (presque) incomplète

RÉSUMÉ

Recueil de poèmes sur l’étonnement, le bonheur et l’angoisse d’être au monde, la filiation, la mémoire ainsi que la beauté des femmes.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Laurent Demoulin

Auteur de Poésie (presque) incomplète

Laurent Demoulin enseigne la littérature en Romane à l’Université de Liège où il officie également comme conservateur du Fonds Simenon. Il a signé nombre d’articles portant sur les littératures française ou belge francophone contemporaines et publié un ouvrage intitulé « Une rhétorique par objet » : les mimétismes dans l’œuvre de Francis Ponge (Hermann, 2011). Par ailleurs, en tant qu’écrivain, il a fait paraître les recueils de poèmes Filiation (Le Fram, 2001), Trop tard (Tétras Lyre, 2007, prix Marcel Thiry), Même mort (Le Fram, 2011), Ulysse Lumumba (Le Cormier, 2014), Palimpseste insistant (Tétras Lyre, 2014), Poésie (presque) incomplète (L’Herbe qui tremble, 2018, prix Maurice Carême) et Homo saltans (illustré par Antoine Demoulin, Tétras Lyre, 2018). Il a en outre co-écrit avec Jean-Marie Klinkenberg Les Petites Mythologies Liégeoises (Tétras Lyre, 2016) et avec Jacques Dubois Tout le reste est littérature (Les Impressions nouvelles, 2018). Enfin, son roman, Robinson (Gallimard, 2016) lui a valu le prix Rossel en 2017.
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« Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première Ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale  Proximus  : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! »  Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.  Illustration de couverture : Théo Bouvier Chanquia « Le 1 er  avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure, électrosensible, interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité.   ÉCOUTER UN EXTRAIT :    SonaLitté · Caroline Bouchoms - Mon corps, ce lieu de poésie…