Au chevet de sa mère, hospitalisée pour avoir une fois encore joué avec les limites mortelles, la narratrice n’en mène pas large. Il faudrait que la température du corps de l’alitée, à deux doigts de jouer sa dernière grande scène, redevienne acceptable. C’est que la génitrice de Maud et de sa sœur cadette, Marie, n’est pas de celles qui s’effaceraient sans bruit. À peine sortie des limbes, la voici d’ailleurs qui réclame son fer à friser, un Paris Match et surtout, de l’attention. Qui tempête sur le personnel soignant, congédie son psychiatre, et admoneste son aînée pour avoir écrit « suicide » dans le dossier médical. Valérie Nimal, à qui l’on devait précédemment Les minutes célibataires…
Guillaume brasse des affaires à New-York et s’inquiète. Son ex-femme Nathalie, au téléphone,…