N’oublions jamais les caresses

À PROPOS DE L'AUTRICE
Évelyne Wilwerth

Autrice de N’oublions jamais les caresses

J’ai construit ma vie sur la beauté de mon enfance ! Une villa 1900 à Spa, l’harmonie de mes parents, un grand jardin avec trapèze, anneaux et balançoire, les bois et les Fagnes… Alors le rêve a jailli naturellement : « Moi, plus tard, je voudrais écrire des livres. » Le rêve s’est réalisé, en passant par quelques étapes. La philologie romane, l’enseignement du français pendant 9 ans. Puis la décision radicale : quitter le système pour me consacrer totalement à l’écriture. Et je me suis retrouvée en Provence, avec Manu van de Velde, un peintre né (presque) dans une poubelle. Et j’ai plongé dans la vraie vie bohème (problèmes financiers inclus !) Après un an et demi dans le Massif des Maures, retour à Bruxelles … pour raisons théâtrales : le succès de ma pièce « Hortense, ta pétillance », qui sera jouée pendant 12 ans. Alors tout s’est peu à peu développé. Les livres pour adultes (romans, nouvelles, essai, biographie) et les livres pour la jeunesse. Et ma thématique s’est affirmée : la désobéissance, la remise en question, les passerelles entre les êtres, l’audace, la prise de risques, la fantaisie, le mystère, l’enquête ou la quête. Un jour, j’ai réalisé que j’étais capable d’éveiller (ou réveiller) la créativité chez les autres. Je me suis lancée avec passion dans l’animation et les ateliers d’écriture (pour enfants, ados et adultes). Après 23 ans de compagnonnage complice, Manu s’est éclipsé au paradis (ou enfer ?) des peintres. Un départ que nous avons vécu sereinement. Aujourd’hui je savoure ma solitude peuplée . La création bien sûr, l’animation, mais aussi mon merveilleux réseau d’amitié, les chats, les voyages et les découvertes culturelles tous azimuts (cinéma, peinture, sculpture, photo, danse, littérature). Je me balance dans la plénitude, comme quand j’étais petite.  
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Ce nouvel opus d’Évelyne Wilwerth se déroule lors d’une après-midi caniculaire sur une place en demi-cercle d’une capitale européenne. Il se présente sous la forme de 45 tableaux proposant tour à tour le point de vue de différents personnages transitant sur ladite place. Certains se connaissent, s’observent, tissant les fils d’un réseau qui prend presque forme humaine, tellement on sent battre ses pulsations.On découvre alors sans transition l’univers d’Apolline, cette artiste peintre en deuil et en mal d’inspiration ; Canberra et Lausanne en plein vertige sensuel ; Nadim qui, du haut de ses 6 ans, veut s’ouvrir aux changements ; Athanase, le vieux Grec en plein questionnement existentiel ; la Frisée, qui tient toujours un objet noir…


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