Mémoires d’écume

RÉSUMÉ

Un roman psychologique et philosophique. Un récit poignant à travers une chronique familiale
Où vont les âmes des sirènes ?
La légende raconte que seules les âmes des sirènes déchues forment l’écume de la mer et qu’elles roulent, ainsi, éternelles…
Une famille en mal de communication : une mère, trois filles. Un matin apparemment comme les autres, des battements de coeurs, un réveil. Peut-être plus brutal : les portes claquent, les voix s’élèvent, un corps ayant entamé une lente et rythmique danse dans cette cage d’escalier.
Subtil et oppressant. Drôle, parfois. Angoissant, souvent. Mémoires d’écume, est un roman qui donne le vertige, mais surtout vous guide vers l’espoir.
Le passage de l’ombre vers l’espoir, une note de clarté dans une situation particulièrement douloureuse.

À PROPOS DE L'AUTRICE
Brigitte Guilbau

Autrice de Mémoires d’écume

Petite fille prématurée, née en hiver, j'ai affiché très rapidement un caractère trempé. Enfant, je voulais devenir Chef Apache. A l'adolescence, je voulais partir avec le Commandant Cousteau. Trente années après St Germain des Prés, je revendiquais l'Existentialisme... Ma carrière fut d’être professeur de cours philosophiques. Active et engagée, mes objectifs pédagogiques et mes travaux d'écriture sont tous tournés vers la réflexion humaniste avec le même dénominateur commun : la condition de l'Homme, le sens qu’il tente de donner à sa vie et ses choix dans la société contemporaine. Cet engagement à la fois citoyen (avec l’association Solidarité Démocratie) et littéraire m’ont valu la reconnaissance de mes pairs : namuroise de l’année, j’ai reçu le prix de la Fondation Reine Paola, le prix de la Communauté Française de Belgique et le prix philosophique Condorcet-Aron.  Certaine que les actes prévalent sur les paroles, j'affiche une attitude résolument anti-tartuffe en disant que pour défendre la vie, il faut l’aimer. Tous mes romans sont dédiés à cette recherche. Du rire aux larmes, ils entrainent le lecteur dans une histoire qui déborde du cadre de la narration fictionnelle et ne se termine pas avec la dernière page. Parce que ces romans, in fine, c’est nous. Raison pour laquelle je suis sollicitée pour des rencontres avec autant d’adultes que de jeunes et suis reprise sur le portail Objectif Plumes de la Fédération WB. Depuis huit ans, j’anime sur deux radios locales Sud Belgique et Bastogne, l’émission hebdomadaire « les agitateurs de neurones ».

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