Roxane a la bonne soixantaine aujourd’hui. Elle coule enfin des jours paisibles dans son bungalow sur la Côte d’Opale. Il faut dire que sa vie n’a pas été de tout repos. Son premier mari, Lucas, était assez violent avec elle. Mais encore… s’il n’y avait eu que ça !
Depuis sa délivrance, sa meilleure amie, Laurence, rêve de proposer l’histoire extraordinaire de Roxane à la célèbre Lucie Bravet, biographe parisienne et reine internationale de best-sellers. Malgré le refus de Roxane, un matin, Laurence sonne à la porte de Lucie.
Autrice de Un mari de trop
Martine COLAS est à la fois écrivaine, scénariste et réalisatrice liégeoise.
L’auteure a 5 livres à son actif : Secrets…, Un mari de trop, L’Ange de la mort, L’Illusion et La Louvière 2050.
Elle a également réalisé 7 films de format court-métrage : La nuit des secrets, Jeu de rôle, Le rêve, Mauvaise fréquentation, Face à elle, Sang témoin et L’ange de la mort.
Plusieurs films ont déjà remporté des prix et ont été présentés au Short Film Corner du Festival de Cannes et du Festival de Clermont-Ferrand, entre autres.
Martine anime, en ligne ou en présentiel, des conférences, des tables rondes sur les thèmes abordés dans ses récits (les pervers narcissiques, la solitude, le harcèlement, la résilience…) et donne également des formations pour les adultes et les adolescents (écrire et publier un livre, réaliser un film…)
Toutes ses fonctions, Martine Colas les pratique avec passion et ténacité. Son écriture est concise et précise. Elle aime les thrillers psychologiques, entre autres. À chaque fois, les lecteurs découvrent ses œuvres 100 % originales.
Mon corps, ce lieu de poésie témoin d’expérimentation criminelle
« Le 1 er avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première Ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité. Illustration de couverture : Théo Bouvier Chanquia « Le 1 er avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure, électrosensible, interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité. ÉCOUTER UN EXTRAIT : SonaLitté · Caroline Bouchoms - Mon corps, ce lieu de poésie…