Maurice Carême : Le miracle d'exister (L'Article n°44)

RÉSUMÉ

Vous vous trouvez peut-être dans la maison de Maurice Carême… Peut-être venez-vous de la visiter. Il est temps désormais d’en refaire le tour dans une nouvelle dimension, « à hauteur d’enfant ». François-Xavier Lavenne, grand lecteur du poète et directeur de la Fondation Carême, sera notre guide pour redécouvrir cette maison sous un autre jour et une autre nuit. Le monde du poète est en effet celui des enfants, un jeu d’ombre et de lumière où « l’enfance n’est pas que légèreté ». Il faut savoir se faufiler parmi les meubles pour en apprécier leur présence.
Écouter les bruits inaudibles des adultes comme l’ancienne clameur de supporters. Apercevoir dans un miroir déformé l’ombre sagace de Jacques De Decker. Sentir la caresse d’une mère présente dans son effacement.
C’est une maison d’écrivain unique que présente cet article, une maison vivante qui rit et doute, qui se souvient et espère. C’est un bol d’air frais et un refuge chaleureux. C’est une poésie simple qui parvient à capturer la complexité de l’enfance.


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Maurice Carême : Le miracle d'exister (L'Article n°44)"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Hubert Juin ou le roman du vertige

Dissertation sur le cycle romanesque "Les Hameaux" de Hubert Juin. Étude de la…

Petite histoire de l'Académie

À propos du livre (extrait de l'Avant-propos) En Belgique,…

Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880

À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…