Ma famille verte

RÉSUMÉ

Gugule Guduk vient du Birnam, de la planète terre. Comme elle n’avait plus de parents, elle en a reçu d’autres. Elle les découvre en arrivant à l’aérostation et… ils sont tout verts ! Tout le monde est vert sur cette planète ! Tout lui paraît étrange. Sa nouvelle famille a les oreilles pointues et sent le caoutchouc, on ne mange pas du riz, mais de la purée qui a un goût de vase, on parle aussi une langue bizarre… Mais elle finit par la trouver chouette sa nouvelle vie verte !

COUPS DE CŒUR ET SÉLECTIONS
  •   Sélection Petite Fureur 2018
Notre Critique

La jeune narratrice l'annonce tout de go : « J'ai quitté mon pays, le Birnam et ma planète, la Terre ». Et d'ajouter qu'elle va être adoptée comme elle n'a plus de parents. En retournant à la page de titre, on découvre sous cadre le portrait de cette future famille....

À PROPOS DE L'AUTEUR
Thomas Lavachery

Auteur et illustrateur de Ma famille verte

Né le 11 septembre 1966 à Bruxelles Licence en Histoire de l’Art et Archéologie, ULB, Bruxelles J’écris des romans d’aventures relevés avec une dose plus ou moins élevée de fantastique. J’ai suivi cette voie pour répondre aux envies de mon fils aîné, Jean. C’est en tous cas ce que je raconte partout, car en réalité je me fais d’abord plaisir à moi-même. En effet, je m’épanouis dans le surnaturel, qui agit sur mon cerveau comme un analeptique. J’ai commencé par la BD et, même si j’ai rapidement abandonné cette carrière, je n’ai jamais cessé de dessiner. J'ai, entre autres, publié plusieurs albums pour enfants dont le héros est un singe étrange, quelque peu inspiré du nasique Jojo de la jungle. Lauréat d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2014 et 2021 Lauréat du Grand Prix Triennal de Littérature de Jeunesse, 2018
NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Une orpheline quitte la Terre pour être adoptée par une famille. Arrivée à destination, elle découvre des personnes gesticulantes et souriantes, mais aussi très grandes, toutes vertes et dotées de quatre bras. Le physique si différent de ses nouveaux parents perturbe l'héroïne. Après un temps d'adaptation, cette fillette rebaptisée Gugule Guduk devient spécialiste des fonds marins, tombe…


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« Tous les enfants rêvent de devenir grands. Tous les crayons rêvent de devenir petits. » Le soir, dans le fond des cartables, les crayons rêvent. Mais à quoi ? Ils songent et écrivent des mots, des mots inventés ou des mots croisés. Ils s’imaginent en train de composer les couleurs de l’arc-en-ciel ou de rétrécir tant ils sont utilisés. Car finalement, c’est leur but ultime : laisser une trace et devenir des souvenirs. Cet album accessible est une véritable invitation à laisser voyager son imagination. Chaque page est bien dosée par le texte poétique de Zidrou et subtilement illustrée grâce au crayonné de David Merveille mélangé aux photographies de Françoise Robert. Ces trois artistes ont combiné avec talent les sonorités, les rythmes, les mots, les images, les sensations et les émotions. L’alchimie donne vie aux différents crayons représentés et à leurs aspirations. Tout naturellement, le lecteur prend le chemin des mots et les relit plusieurs fois, dans le but de s’imprégner encore plus. Il en demande, encore et encore ! À son tour de répondre à la question : « Au fond des cartables, à quoi rêvent ses propres crayons ? » (Nathalie Bouillot) Le soir, au fond des cartables, les crayons rêvent... Ils rêvent d'écrire des mots d'amour,…