L’interminable évidence de se taire





À PROPOS DE L'AUTEUR
Serge Núñez Tolin
Auteur de L’interminable évidence de se taire
Ses parents ayant quitté l'Espagne en 1951-53, l'auteur est né à Bruxelles en 1961. Licence et Agrégation en Histoire de l’Art et Archéologie des civilisations non-européennes. Université Libre de Bruxelles : https://www.persee.fr/authority/71589 Deux métiers : 1°) Depuis 1987, Guide-conférencier dans les musées, plus particulièrement aux MrBAB (1994-2014), e.a. : cofondateur (avec Françoise Dechamps, art- thérapeute) du Programme Comète à destination des publics dits fragilisés. 2°) Enseignant en milieu carcéral dans le cadre associatif : Prisons de Mons, quartiers des hommes et des femmes, Nivelles, Saint-Gilles, Forest, Berkendael (Femmes) et Haren quartiers des hommes et des femmes (1988-2025).  Quinze titres parus (2024). À partir de 2001, aux Éditions Le Cormier (Belgique) : quatre ouvrages ont paru sous le titre unique de "Silo" et un cinquième, en 2006 : «L’interminable évidence de se taire». En France, depuis 2010, chez Rougerie éditeur : six titres parus dont le dernier (2023) : « Les mots sont une foudre lente » qui a reçu le Grand Prix de poésie 2023 ArllB. En avril 2024, le Cadran ligné éditions : « L’immobilité et un brin d'herbe». En juin 2024 : "Sur le fil de la présence" aux éditions Le Taillis Pré. Dernières collaborations aux revues : Les Hommes sans Épaules, 2016 (Ecouen) ; Traversées 2017 (Virton), Triages 2017, (St-Benoît-sur-Sault) ; N47, 2017(Angers) ; A, Littérature et Action, 2018, Marsa (Nice) et Siècle XXI, Paris 2019 ; Journal des Poètes, Bruxelles 2023, n°4. Une émission radio-diffusée sur la RTB-F La Première en 2010 (Thierry Genicot). Une émission radio-diffusée sur RCF-Liège, CURIOCITÉ (Antoine Labye) en 2021 : https://www.rcf.fr/actualite/curiocite?episode=28976 Articles de presse dans les revues : Le Journal des Poètes, Europe, Souffle, La Quinzaine littéraire, etc. Au Brésil : O Globo, etc. Presse numérique : Recours au Poème, Poezibao, Terre à Ciel, Traversées, etc. « Nó dado por ninguem »Trad. en portugais (Brésil) de «Nœud noué par personne». Lumne Editor, 2015. Dossiers personnels : En 2014, la revue  N47 et, en 2017, la revue Traversées (Numéro spécial) ont fait paraître des études sur les livres parus à ce jour. "Une poésie de vingt ans. Anthologie de la poésie en Belgique francophone (2000-2020)". Gérald Purnelle. Espace Nord, 2022. « Serge Núñez Tolin, une poésie métaphysique à la recherche du quotidien ». Mémoire universitaire sur l’œuvre (2021-2022). Auteur : François Halleux [UCL] Promotrice : Anne Reverseau  [UCL]. Master [120] en langues et lettres françaises et romanes, orientation générale, à finalité spécialisée: sciences et métiers du livre (édition, librairie, bibliothèque).  Sites spécifiques de poésie :            https://www.arllfb.be/prixlitteraires/grandprixpoesie/2023.html Extrait de l'argumentaire du jury Le jury entendait souligner également l’importance de l’œuvre que construit Serge Núñez Tolin depuis ses premières publications, il y a une bonne vingtaine d’années. Que l’on pense à la série des Silo (de I à IV) parue au Cormier, aux volumes publiés chez Rougerie tels L’ardent silenceLa vie où vivre ou, plus récemment, Près de la goutte d’eau sous une pluie drue (2020).
Le recueil aujourd’hui lauré, Les mots sont une foudre lente, s’inscrit, comme tous les autres textes de Serge Núñez Tolin, dans ce qu’on pourrait appeler (c’est d’ailleurs le titre d’un mémoire consacré à l’auteur) « une poésie métaphysique à la recherche du quotidien ». https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A34927
Et l’épigraphe de Philippe Jaccottet (ouverture à la première partie du manuscrit) — je la cite : « autour des simples paroles d’échanges, il pourrait subsister un infini » — pourrait à elle seule circonscrire le dessein de l’auteur. Les mots les plus simples (des mots pareils aux jours banals [p. 9], la vie revenue parmi les heures simples [p. 25] ou les riens insignifiants [p. 26]) sont ici porteurs d’une profonde réflexion aux allures philosophiques ou métaphysiques, comme déjà évoqué. « Il y a — écrivait notre confrère Éric Brogniet dans Le Carnet et les Instants — une forme de simplicité et de mystère dans cette poésie économe en images et orientée vers le questionnement de l’être. » https://le-carnet-et-les-instants.net/2023/05/07/nunez-tolin-les-mots-sont-une-foudre-lente/#more-60245
Un recueil qui certes se penche sur notre condition humaine, mais aussi qui creuse l’écriture elle-même, nous proposant de tenir simplement les mots comme « une foudre lente ». Les mots sont une foudre lente est un recueil de sagesse, qui n’a pas peur de se confronter aux choses du dedans comme au quotidien le plus élémentaire, qui sait entendre le silence comme la voix des autres, qui nous installe face au miroir de nos vies et nous interpelle sans cesse. Yves Namur Autres finalistes     https://www.federation-wallonie-bruxelles.be/nc/detail-article/?tx_cfwbarticlefe_cfwbarticlefront%5Baction%5D=show&tx_cfwbarticlefe_cfwbarticlefront%5Bcontroller%5D=Document&tx_cfwbarticlefe_cfwbarticlefront%5Bpublication%5D=4446&cHash=d8b0434f6b99b817fbf6329531dbe267 Lauréat : « Cavale russe » de Célestin de Meeûs Lauréat du Grand prix de Poésie 2020 : Christian HUBIN Lauréat : Christophe MAHY pour Paysages du vent (Éd. Noires Terres) http://www.prix-apollinaire.fr/actualite.html  Lauréate : Liliane Wouters pour son recueil "Derniers feux sur terre", Le Taillis Pré et pour l'ensemble de son œuvre. Manuscrit inédit « Le matin du monde », 1984. « Serge Núñez Tolin montre dans ses poèmes un ton neuf, des images fortes, une intériorité violente. C'est à cela que l'Académie a été sensible. Elle a voulu reconnaître un bel élan lyrique doublé d'une profondeur vivante. » Liliane Wouters

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