Nuages de saison | Objectif plumes

Nuages de saison

RÉSUMÉ
Des poèmes accompagnés de montages photographiques en noir et blanc sur le thème des nuages.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Louis Massot

Auteur de Nuages de saison

Né en 1955 en Ardèche, Jean-Louis Massot vit depuis une trentaine d’années à Bruxelles, où il anime depuis 1995 les éditions Les Carnets du Dessert de lune. Il est l’auteur d’une quinzaine de plaquettes et recueils de poésie, ainsi que d’une pièce de théâtre.
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Les suivez-vous parfois des yeux, ces Cumulus « Lourds comme des / Boules d’angoisse » ?Regardez-vous comment « Des étoffes de Stratus / Cachent la lune et les étoiles » ?Vous arrive-t-il de reconnaître là-haut « Des Cirrostratus / Comme de légères traces / Laissées par le pinceau / D’un peintre distrait » ? D’imaginer le message que porte peut-être, à notre insu, « Ce Cumulonimbus / Qui s’élève / Et se tortille / Au-dessus des derniers / Toits des maisons / Du village » ? D’attendre le moment où « Le soir venu / Les Altostratus / Ont commencé / À s’enlacer » ?Avez-vous songé un jour, à voir des nuages disséminés, éparpillés, se rapprocher les uns des autres, s’assembler,…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Nuages de saison"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9955 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Cavale

Avocat de 1964 à 1975, J.-C. Pirotte fut accusé d'avoir aidé un client à s'évader et condamné…

Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)

Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…

La dernière convocation

On est en avril 2017. Au fonctionnaire chargé de contrôler…