Le symbolisme des objets allié à une dimension écologique de conservation de ses biens. L’anti-Marie Kondo !
Ce guide original nous invite à redécouvrir les objets qui nous entourent, ainsi que la mémoire dont ils sont porteurs. Que représentent-ils pour nous ? Quelles traces de ceux qui les ont créés ou choisis subsistent à travers eux ? Que transmettent-ils à nos proches ? Quel récit laissons-nous derrière nous à travers ces témoins de nos vies ? Sociologue clinicienne et spécialiste de l’écriture du récit de vie, Annemarie Trekker propose une réflexion multidimensionnelle et sensible autour de l’objet, à travers une approche sociologique, psychologique, culturelle, symbolique et historique, émaillée de témoignages poétiques et de récits de famille. Son livre nous offre également des exercices pratiques, permettant une réappropriation intime de nos objets personnels (souvenirs, photographies, vêtements, lettres, etc.). Au fil des pages, l’autrice nous convie à une exploration de nos possessions, de la cave au grenier. Elle nous encourage à nous emparer de notre existence comme on se saisit d’un objet précieux pour le contempler, en percevoir la beauté et en réparer les fêlures, afin de lui redonner l’intégralité de ses potentialités, tout en remettant de l’harmonie dans nos vies.
Auteur de Les objets, messagers de notre histoire : pourquoi il ne faut pas tout jeter
Que ce soit doux pour les vivants
On a tourné la page, on dit souvent cela, ou il faut dire cela, on a tourné…
Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880
À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…