Dans « Les Morts rigolos », on ne doute de rien : un type y raconte sa vie à partir d’une blague tout en révolutionnant les enterrements, tout en écrivant un thriller familial avec ses enfants (Victor, 7 ans, et Lucas, 5 ans), tout en se faisant plein de copines et copains clochards, pornolettristes, kamikazes, grossistes en pétrole, écoféministes, cavaliers anarcho-autonomes, aviatrices, tout en théorisant l’écriture qui tue et en re-fécondant les rapports entre vie, farce, mort et enfance……
Auteur de Les morts rigolos
[Quatrième de couverture] Dans Sensations du combat , Anna Ayanoglou continue de mêler…