Les derniers jours du Moi en sont confis. C’est une apothéose du je pour le non-nommé Personne. Celui-ci écrit son anamnèse, reconstituant sur le conseil de son psychiatre, l’histoire pathologique de sa maladie : « Mal dans ma peau ? C’est peu dire ! Surtout mal dans ma peau de mâle. Imbu de ma personne, j’avais la gueule de bois », la gueule de moi.
L’ego est hommenivore, Docteur.
L’acide lucidité du narrateur tient à exprimer dans les « Motsmaux » de ses « Amoiements » la légèreté et l’humour de sa situation. C’est qu’elle est grave, qu’il est en danger. Pour se débarrasser de soi, il doit se mettre à nu. Littérairement et littéralement. Dans ce processus…
Dans le décor hallucinant d'une guerre qui les déchire, deux familles, l'une des Cantons de l'Est et…
Pendant que Cédric commençait le montage de la garde-robe, Karine est allée dans la salle de bains. Elle s'est…