On lira attentivement ce qui nous est livré ici sur cette quête acharnée, dérisoire et immense à la fois, conquête toujours insatisfaite, toujours recommencée, et toujours, pour une part, incommunicable. Hommage vibrant à la littérature. « Derrière des vitraux sombres, démodés, on écrit des livres sans même savoir s’il fait beau dehors, ou s’il pleut. » (Révérence, encore, à Rimbaud : « Je suis le savant au fauteuil sombre. Les branches et la pluie se jettent à la croisée de la bibliothèque. »)…
La narratrice, Clémence, veuve depuis plusieurs années, déménage dans une maison de repos,…
Amanda nous emmène sur un chemin forestier.«Nous sommes à la hauteur du…