Les Bienheureuses

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Le Carnet et les Instants

Comment dit-on un page turner en français ? L’histoire des Bienheureuses commence pourtant en douceur et sans profondeur. Marcel Douby est un cinquantenaire et un fils modèle. Tellement attentif à sa mère qu’il préfère rester chômeur. Ainsi permet-il à maman de le dorloter tout son soûl. « Mercredi, c’est le jour des boulettes sauce tomate, frites. Elle les prépare super bien et je ne veux pas rater ça. »Je dis « son soûl » parce que le soir Marcel raconte qu’avec ses potes, « On éclusait des Jups avant d’aller draguer des grognasses dans les dancings des environs. » « J’ai pris de l’âge comme ça, à la douce, en baisant des tordues de plus en plus âgées. Moi non plus, je n’allais…


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