Le rêve d’un fou

À PROPOS DE L'AUTRICE
Nadine Monfils

Autrice de Le rêve d’un fou

Ecrivain ( pas veine, n’aime pas le féminisme) et réalisatrice belge. A 20 ans, j’étais professeur de morale et j’ai publié des contes pour petites filles perverses. Comédienne, galeriste, critique littéraire pour des journaux satyriques, j’ai donné des ateliers d’écriture dans les prisons. Plus de 80 romans  et polars publiés à la Série Noire, Belfond, Le Fleuve, Pocket…). Un film « Madame Edouard »- que j’ai écrit et réalisé- avec un casting prestigieux ( Didier Bourdon, Michel Blanc, J.Balasko, D.Lavanant, Annie Cordy, Bouli Lanners…et musique originale de Benabar) ainsi que des pièces de théâtre jouées en Belgique et en France. Imprégnée du côté déjanté, humour noir et surréaliste de mon pays, on me dit inclassable.
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Nadine Monfils n’a pas fini de nous étonner. Spécialiste du polar drôle plein d’humour baroque et couronnée de prix en cette qualité, elle change ici de registre. Cette fois, elle met en scène dans son dernier livre, Le rêve d’un fou, un personnage réel, le facteur Cheval dont elle cite même par moments les paroles authentiques. « Les rêves, ça chasse les larmes », nous dit-elle, évoquant la croyance de son héros. Il s’agit d’un vrai roman.Le ton y est, la fantaisie aussi, bien qu’elle s’y soit inspirée de faits avérés et bien connus : la vie de ce facteur qui a imaginé et construit le fantastique Palais idéal à Hauterives dans la Drôme. Ferdinand Cheval  a perdu son fils Victor en bas âge et aussi sa fille…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:facteur - "Le rêve d’un fou"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les quatre saisons de Rose

Lorsque Rascal se met à l’écriture. On connaissait les albums, il faudra désormais aussi compter sur les romans de Rascal. Voici un texte intimiste, sorte de journal ou de souvenirs au parfum d’autrefois. Au fil des saisons, en de courts chapitres le lecteur découvrir la vie quotidienne de Rose, une petite citadine. A chaque saison, elle revient à la campagne, chez ses grands-parents. Ici, comme des petites notes personnelles, elle y contient ses sentiments, ses secrets ou ses premiers amours. On sent le vent, l’odeur des feuilles en automne, la pluie sur les carreaux du train. Car ce texte est tout empli de nostalgie, du temps qui passe et qui, malgré les souvenirs, ne sera jamais retrouvé. On retiendra particulièrement les deux premières saisons : l’été, où Rose prépare, avec sa grand-mère complice, un bel anniversaire à son grand-père (il n’a jamais pris l’avion) ; l’automne avec cette étrange promenade en compagnie de son grand-père et cette photo dans une de ses poches (Rose pense que c’est la sienne). Ces passages sont d’une très belle tendresse. On est moins convaincu par les deux derniers chapitres : l’escapade hivernale durant la nuit, l’épisode du train et les premiers émois amoureux. Il n ‘empêche que ce premier roman reste d’une belle tenue, renforcée par de belles aquarelles couleur sépia de Nathalie Novi (où l’on croise pelle mêle, le facteur de Tati, un regard dans un rétroviseur, une nature morte sur une nappe aux carrés rouges).…

L’année la plus chaude

Cet été-là, il n’a jamais fait aussi chaud. Alex s’apprête à fêter ses…

De mémoires

De mémoires est le troisième livre d’Olivier Bailly, qui décide de nous plonger dans la région de la…