Auteur de La disparue de l’île Monsin
Plus encore que dans ses nombreux romans précédents, Armel Job a apporté des accents simenoniens à son dernier livre, La disparue de l’île Monsin. La preuve par le titre bien évidemment qui évoque Liège, la ville natale du père de Maigret, mais également une intrigue policière pur jus et surtout cette propension des deux écrivains à mettre en scène des petites gens.D’emblée, Armel Job campe un loueur et accordeur de piano, Norwak Jordan, présenté en deux lignes qui en disent déjà long sur son profil : « … un homme en qui on pouvait avoir une entière confiance, facteur de piano réputé, membre du Rotary, père de famille exemplaire, époux d’une violoniste… ». Ce…
Démesure narrative, lumière d’un soleil noir, calciné qui embrase l’écriture, les registres stylistiques, trame ambitieuse…
Naguère bourgmestre d’Ixelles, Willy Decourty renoue avec son passé de jeune rédacteur au journal…
XVème siècle, Bruges. Jeune clerc sans argent, Piet est amoureux d’Amélia, la fille d’un puissant banquier italien. Lorsque la jeune femme est enlevée pour couvrir une sombre histoire de corruption, Piet n’hésite pas à se lancer à sa recherche. Le roman est historique, on apprend quantité d’informations à propos du commerce dans les Flandres, de la peinture avec le personnage de van Eyck… mais il est surtout d’aventures, avec une action sans temps mort, du sang et des courses-poursuites qui s’enchaînent. A la limite du fatigant ! Si le déroulement reste classique, et le final heureux, on appréciera la présence de Mars, esclave en fuite, qui apporte une touche inattendue et approfondit l’ensemble. A noter un petit dossier…