Le journal d'Alice (T. 4). Le Big Bang

RÉSUMÉ

Coucou cher Journal, me revoilou !
Déjà le mois de juin ! Plus que quelques semaines d’école… Mes amis et moi, on a passé une année fantastique avec monsieur Gauthier, l’enseignant le plus cool de Montréal, du Québec, du Canada, du Monde, de la Planète, de l’Univers ! En parlant d’Univers, figure-toi, cher journal, que c’est le Big Bang dans mon cœur. Et oui… On peut même dire que…

   lire la suite sur   Ricochet
À PROPOS DES AUTEURS
Sylvie Louis

Auteur de Le journal d'Alice (T. 4). Le Big Bang

Sylvie Louis a fait des études universitaires en Journalisme et communication. Durant 22 ans, elle a collaboré comme journaliste à divers magazines et journaux. Elle a notamment rédigé près de 400 articles et chroniques pour le magazine Enfants Québec.

Christine Battuz

Illustrateur de Le journal d'Alice (T. 4). Le Big Bang


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le journal d'Alice (T. 4). Le Big Bang"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16311 ) [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les quatre saisons de Rose

Lorsque Rascal se met à l’écriture. On connaissait les albums, il faudra désormais aussi compter sur les romans de Rascal. Voici un texte intimiste, sorte de journal ou de souvenirs au parfum d’autrefois. Au fil des saisons, en de courts chapitres le lecteur découvrir la vie quotidienne de Rose, une petite citadine. A chaque saison, elle revient à la campagne, chez ses grands-parents. Ici, comme des petites notes personnelles, elle y contient ses sentiments, ses secrets ou ses premiers amours. On sent le vent, l’odeur des feuilles en automne, la pluie sur les carreaux du train. Car ce texte est tout empli de nostalgie, du temps qui passe et qui, malgré les souvenirs, ne sera jamais retrouvé. On retiendra particulièrement les deux premières saisons : l’été, où Rose prépare, avec sa grand-mère complice, un bel anniversaire à son grand-père (il n’a jamais pris l’avion) ; l’automne avec cette étrange promenade en compagnie de son grand-père et cette photo dans une de ses poches (Rose pense que c’est la sienne). Ces passages sont d’une très belle tendresse. On est moins convaincu par les deux derniers chapitres : l’escapade hivernale durant la nuit, l’épisode du train et les premiers émois amoureux. Il n ‘empêche que ce premier roman reste d’une belle tenue, renforcée par de belles aquarelles couleur sépia de Nathalie Novi (où l’on croise pelle mêle, le facteur de Tati, un regard dans un rétroviseur, une nature morte sur une nappe aux carrés rouges).…

La colère des Mac Gregor

Dans le grenier de sa grand-mère, Nelson, un jeune écolier fort raisonnable, trouve de vieux objets abandonnés et entend soudain des voix dans sa tête. Ce sont celles de ses ancêtres paternels, les de Trieu, enfermés dans les objets à la suite d’une malédiction datant du 15ème siècle, infligée par un seigneur écossais, Roy Mac Gregor. Nelson passe beaucoup de temps à dialoguer avec sa famille et se surprend à parler avec un râteau, une assiette en faïence, un sabre ou un poêle à bois. Il garde pour lui ce secret mais, à la mort de sa grand-mère, ses parents vendent la maison et les aïeux ! Ceux-ci se retrouvent chez un antiquaire véreux de Bruxelles, qui les disperse un par un. Nelson se sent dépassé par l’énormité de la tâche à accomplir pour retrouver sa famille, il ne peut s’en ouvrir à son père, dont l’extrême émotivité l’empêche quasiment de vivre. Il fait alors la connaissance de Victoria, une vieille dame pleine d’énergie et de ressources. Ensemble, ils vont explorer la ville, à la recherche de vases, d’assiettes et autres vieilleries afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille et de faire en sorte que les ancêtres de Nelson puissent enfin reposer en paix. Après Bjorn le Morphir, roman de fantasy humoristique récemment adapté en bande dessinée, Thomas Lavachery publie son deuxième roman, qu’il a écrit pendant deux ans avec une classe de CM1/CM2 d’une école de Bruxelles. Le résultat est amusant, l’écriture est enlevée, les dialogues savoureux et l’idée de départ originale. A côté de la quête opiniâtre de Nelson, il y a aussi l’évocation de sa vie quotidienne et de ses relations avec ses parents, notamment avec ce père si fragile, que Nelson veut préserver à tout prix. Ce garçon est fort malgré son âge et sa quête donne de la force à ceux qu’il aime. C’est aussi ce côté-là de l’histoire…

Le journal d'Alice (T.2). Lola Falbala

Cher journal, Je vais te raconter TOUT ce qui se passe au 42, rue Isidore-Bottine (la maison où je vis avec mes parents et mes deux sœurs) et TOUTES les aventures des CM2 B (ma classe à l’école des Érables). Notre prof d’anglais méritera-t-elle encore son surnom de Cruella ? Et monsieur Gauthier, notre enseignant, sera-t-il toujours 100% cool ? Commençons par mes retrouvailles…