Coucou cher Journal, me revoilou !
Déjà le mois de juin ! Plus que quelques semaines d’école… Mes amis et moi, on a passé une année fantastique avec monsieur Gauthier, l’enseignant le plus cool de Montréal, du Québec, du Canada, du Monde, de la Planète, de l’Univers ! En parlant d’Univers, figure-toi, cher journal, que c’est le Big Bang dans mon cœur. Et oui… On peut même dire que…
Auteur de Le journal d'Alice (T. 4). Le Big Bang
Sylvie Louis a fait des études universitaires en Journalisme et communication. Durant 22 ans, elle a collaboré comme journaliste à divers magazines et journaux. Elle a notamment rédigé près de 400 articles et chroniques pour le magazine Enfants Québec.
Illustrateur de Le journal d'Alice (T. 4). Le Big Bang
Opération sauvetage (T.8). Le chant des baleines
Nouveau défi pour les Bionautes : sauver les baleines à bosse ! Les baleines à bosse sont des animaux protégés, pourtant un navire japonais, sous prétexte de les étudier, s’est posté au large de l’Antarctique. Son véritable objectif : les tuer et les vendre en boîtes de conserve ! Le capitaine Watson, un ami du professeur Groscerveau, est déjà en place pour tenter d’arrêter ce massacre et de dénoncer ce scandale. Mais les Bionautes, transformés eux-mêmes en baleines, peuvent lui être d’une grande aide. Voilà pourquoi…
Lorsque Rascal se met à l’écriture. On connaissait les albums, il faudra désormais aussi compter sur les romans de Rascal. Voici un texte intimiste, sorte de journal ou de souvenirs au parfum d’autrefois. Au fil des saisons, en de courts chapitres le lecteur découvrir la vie quotidienne de Rose, une petite citadine. A chaque saison, elle revient à la campagne, chez ses grands-parents. Ici, comme des petites notes personnelles, elle y contient ses sentiments, ses secrets ou ses premiers amours. On sent le vent, l’odeur des feuilles en automne, la pluie sur les carreaux du train. Car ce texte est tout empli de nostalgie, du temps qui passe et qui, malgré les souvenirs, ne sera jamais retrouvé. On retiendra particulièrement les deux premières saisons : l’été, où Rose prépare, avec sa grand-mère complice, un bel anniversaire à son grand-père (il n’a jamais pris l’avion) ; l’automne avec cette étrange promenade en compagnie de son grand-père et cette photo dans une de ses poches (Rose pense que c’est la sienne). Ces passages sont d’une très belle tendresse. On est moins convaincu par les deux derniers chapitres : l’escapade hivernale durant la nuit, l’épisode du train et les premiers émois amoureux. Il n ‘empêche que ce premier roman reste d’une belle tenue, renforcée par de belles aquarelles couleur sépia de Nathalie Novi (où l’on croise pelle mêle, le facteur de Tati, un regard dans un rétroviseur, une nature morte sur une nappe aux carrés rouges).…