Auteur de La colère des Mac Gregor
Illustrateur de La colère des Mac Gregor
Dans le grenier de sa grand-mère, Nelson, un jeune écolier fort raisonnable, trouve de vieux objets abandonnés et entend soudain des voix dans sa tête. Ce sont celles de ses ancêtres paternels, les de Trieu, enfermés dans les objets à la suite d’une malédiction datant du 15ème siècle, infligée par un seigneur écossais, Roy Mac Gregor. Nelson passe beaucoup de temps à dialoguer avec sa…
David vit avec ses parents au fond des bois, dans un chalet près d'un lac. Un jour, il trouve dans la maison des outils de bûcheron ayant appartenu à son grand-père et se lance dans l'activité, espérant impressionner son père, homme sévère qu'il craint particulièrement. Lors de ses sorties, il va rencontrer un chien-loup, que beaucoup d'humains n'apprécieront pas… Jean-Marie Defossez a une âme de poète, et, dans ce roman, la nature et les éléments prennent autant d'importance que les personnages, en des expressions qui bercent la lecture : « une après-midi où dansaient ensemble le vent et la pluie » (p. 16), « Le temps passa, doucement, comme l'oiseau bâtit son nid, branche par branche, jour après jour » (p. 81). Sur ce fond de douceur (notre apprenti bûcheron s'excuse auprès des arbres), se déploie une histoire relativement classique, celle d'un petit garçon hyper-sensible, qui trouve réconfort dans ses rêveries et auprès des animaux, en réaction à un monde adulte masculin qui le rebute. Le narrateur est centré sur les émotions, que ce soient celles de David ou de Miloup. Une nécessaire réconciliation entre tous s'opèrera, le père se rapprochant du fils, ainsi que de la mère. C'est plein de bons sentiments,…
XVème siècle, Bruges. Jeune clerc sans argent, Piet est amoureux d’Amélia, la fille d’un puissant banquier italien. Lorsque la jeune femme est enlevée pour couvrir une sombre histoire de corruption, Piet n’hésite pas à se lancer à sa recherche. Le roman est historique, on apprend quantité d’informations à propos du commerce dans les Flandres, de la peinture avec le personnage de van Eyck… mais il est surtout d’aventures, avec une action sans temps mort, du sang et des courses-poursuites qui s’enchaînent. A la limite du fatigant ! Si le déroulement reste classique, et le final heureux, on appréciera la présence de Mars, esclave en fuite, qui apporte une touche inattendue et approfondit l’ensemble. A noter un petit dossier…
Le journal d'Alice (T.3). Confidences sous l'érable
Salut cher Journal, Je brûle d’impatience de te raconter mon voyage à Ottawa avec ma meilleure amie ! Trop génial, même s’il a commencé d’une façon surprenante… Même si j’adore Astrid (ma mère – très chouette, mais a-t-elle déjà été adolescente ???), Marc le guépard (mon père), mes sœurs Caro et Zoé, sans oublier Grand-Cœur (le plus adorable des chats), il faut avouer…