Dans Le bâton de Plutarque, deuxième volet de ses Miscellanées (le beau nom, quelque peu oublié, des mélanges littéraires), Cristian Ronsmans nous livre une nouvelle brassée de notes cueillies dans ses carnets, aux couleurs et humeurs variées. Groupées par chapitres fantaisistes : Aphorismes et périls, Aphorismes et mantilles, Aphorismes et basse continue, Aphorismes et vieilles dentelles…Ici, un air de confidence : « Je n’ai jamais verrouillé mon cœur. J’aurais dû. J’aurais dû le cadenasser ».Là, des réflexions dans le sillage de la phrase ‘lumineuse’ d’Hölderlin : « La poésie est un jeu dangereux ». « L’objectif essentiel de la poésie…
Jean-Louis Massot a assurément le sens de la pertinence éditoriale. Après avoir accompagné Yves Budin dans…
Aux éditions du Cactus inébranlable, le mystère des titres est souvent un jeu de pistes et de cache-cache…