Parodie des évangiles. Un psychodrame dans un asile.
« La fête s’est emparée d’un asile, où le directeur et un psychiatre se laissent insidieusement manipuler par Méphisto. Satan revêt la robe du Christ, et tout bascule, certitudes et points de repère. Qui possède qui dans ce jeu de miroir où se contemplent l’Ange et la Bête ?
La « Passion » du diable nous invite dans une danse carnavalesque qui emprunte à Bosch et Ensor leurs couleurs et leur impertinence. Une interrogation audacieuse en forme de comédie sur le mal et les Evangiles. »
PRIX
Prix littéraire du Parlement de la Communauté française, 1998
Elevé en flamand, auteur d'expression française. Adolphe Nysenholc échappe à la déportation à trois ans. Il a mis un demi-siècle pour oser dire que sa vie avait commencé par la mort. Pour arriver à lui-même, il a dû s'arracher plusieurs masques. D’abord, spécialiste de Chaplin. Puis professeur de faculté, sa première pièce de théâtre est une variante d'un mythe grec. La deuxième une parodie des évangiles. Enfin la troisième parle de sa mère assassinée. Et son roman, paru dernièrement, évoque l'amour pour ses parents de guerre.
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre navigation sur notre site. Parmi ces cookies, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site Web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site Web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut avoir un effet sur votre expérience de navigation.
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Cette catégorie comprend uniquement les cookies qui garantissent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site Web. Ces cookies ne stockent aucune information personnelle.